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a santé est dans l’humilité de la prière, dans la
reconnaissance
éperdue de notre incapacité à faire par nous-mêmes le bien, dans l’ab
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lle ne s’appartient pas ; c’est à partir de cette
reconnaissance
qu’elle peut agir, qu’elle peut créer » (p. 297). Je sens bien qu’un
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meuse : « Au solitaire que j’appelle avec joie et
reconnaissance
: mon lecteur. » Kierkegaard savait bien que lorsqu’on parle à tous o