1 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
1 u seul orgueil de vivre, dénonce la paresse de la religion qui n’est qu’un refuge contre la vie. Elle nous amène à un point de j
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
2 étuellement de la vérité religieuse. Il parle des religions avec une incroyable légèreté, — en littérateur qui cherche l’effet pi
3 il de la Vie, haine de cette vie-ci, mépris de la religion et ferveur pour des « valeurs nouvelles » encore plus vagues d’ailleu
4 s d’ailleurs que ce qu’ils peuvent imaginer de la religion . C’est une forme aiguë de ce que les Anglais appellent « sécularisme 
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
5 sche pour leurs aînés. Il n’est pas sûr que les «  religions  » y gagnent, mais la foi, certainement. Et « l’honneur de Dieu ». 2
4 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
6 rait tout de l’existence. Il accepterait aussi la religion avec le courage du suicide. Dans sa résolution, il se sentait graduel
5 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
7 ont encore là, mais non plus les espérances de la religion , et l’âme, qui montait autrefois, est retombée sur la terre et l’anim
6 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
8 llement renaissants, et que les adversaires de la religion eurent beau jeu d’exploiter, on le sait. Mais, comme l’établit fort j
7 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
9 ’est la politique, et dans un sens plus vaste, la religion , que cela regarde. M. Nizan demande inlassablement ce que les philoso
10 être concret. Seul l’Évangile — je ne dis pas les religions , ni leurs morales, ni leurs prêtres, ni tout leur appareil d’assuranc
8 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
11 ’histoire, de la politique, de la morale et de la religion . Des livres comme l’Essai sur la France, de E. R. Curtius, dont il fu
9 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
12 eur de la loi découvrit cette vérité que toute sa religion n’avait pas pu lui faire comprendre : le prochain, c’est celui qui ex
10 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
13 uent le martyre des braves chrétiens, comme si la religion , de toute éternité, n’était pas au contraire la façon la plus sage de
11 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
14 s quelques pages de la première partie intitulées Religion et christianisme. Je ne puis tout citer : je me bornerai donc aux pas
15 acuité et la profondeur de l’intellect fait de la religion la chose la plus répugnante qui soit. Oui, je sais bien de quoi il s
16 us superstitieux quand ils sont très excités. Les religions se consolident dans des périodes de grands troubles et d’insécurité.
17 sion de l’au-delà. Parfaitement valable pour les religions , cette sentence est grossière, voire naïve, si Nietzsche entendait pa
18 le monde contemporain entièrement dominé par une religion de la vie, de « l’intensité » de la vie ? Ne voyons-nous pas cette my
19 e la vie prise comme but de la vie, et même de la religion , s’introduire jusque dans les sermons, et s’y substituer au respect d
20 « Vous dites que vous croyez à la nécessité de la religion  ? Soyez sincères ! Vous croyez à la nécessité de la police ! » Dès
21 ignificatif que les fragments de Nietzsche sur la religion se terminent par cet aphorisme d’une éblouissante vérité. 66. Onze
12 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
22 umain purifié, « divinisé » par les efforts de la religion s’ajoutant à ceux de la raison), et d’un christianisme absolu, qu’on
13 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
23 mais facile de voir qu’à l’attitude œcuménique en religion ne peut correspondre que l’organisation fédéraliste en politique. Qua
24 concevables pour un ordre nouveau du monde. (La «  religion de l’homme » que certains nous proposent est une contradiction dans l
25 termes, à moins qu’elle ne soit la formule de la religion totalitaire, sans transcendance, que précisément l’on se propose de c
26 uelles on puisse construire dès maintenant. (La «  religion de l’homme », ou du surhomme, est encore à créer, et le temps presse 
14 1977, Foi et Vie, articles (1928–1977). Pédagogie des catastrophes (avril 1977)
27 re malgré tout le terme de conversion ? Ou que la religion n’a rien à voir avec tel mode de pollution ou de production d’énergie