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de ses aspirations et de ses actes ; dans une âme
responsable
de ses contradictions. Sans doute, la psychologie moderne a-t-elle mo
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ension publique dont nous sommes en grande partie
responsables
? Nous montrons-nous assez soucieux de nous désolidariser de certaine
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able calvinisme. Or nous n’hésitons plus à rendre
responsable
de cette carence de la poésie et du rayonnement spirituel notre fameu
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sure où nous démissionnons de notre rôle d’hommes
responsables
et créateurs. Leur rigueur mesure exactement notre dégénérescence. Le
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i historique ou acte personnel ? Irresponsable ou
responsable
? Telle est, je crois, en définitive, la question simple que nous pos
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ie ; contre l’histoire, il pose l’acte de l’homme
responsable
de son destin. Mais tout cela va au martyre, dans le monde qu’on nous
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Kierkegaard s’adresse au chrétien, comme au seul
responsable
parmi nous. Il sait bien qu’en tous temps, le malheur de l’époque ne
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en, en docteur de l’Église fidèle, en prédicateur
responsable
, non plus en philosophe ou en métaphysicien, que Luther nie le libre
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. Ce qui libère un homme est aussi ce qui le rend
responsable
vis-à-vis d’autrui. En retour, ce qui unit la communauté est aussi ce
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catastrophes. Car s’il est vrai que l’Europe est
responsable
de la plupart des maux qui accablent le tiers-monde, et d’abord de so