1 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
1 deux essais de philosophes chrétiens : L’Homme du ressentiment , de Max Scheler44, Position et approches concrètes du mystère ontolog
2 livre, c’est le phénomène que Nietzsche a baptisé ressentiment . Pour Nietzsche, on s’en souvient46, l’amour chrétien n’est que « la
3 46, l’amour chrétien n’est que « la fine fleur du ressentiment  » que les natures faibles vouent aux valeurs aristocratiques. La hain
4 re. Mais si l’on donne raison à sa description du ressentiment — ce que je fais pour ma part sans réserve —, il reste à voir si les
5 rnoise révolte de l’homme naturel, une poussée de ressentiment contre l’héroïsme chrétien ; à l’origine de l’amour de l’humanité, il
6 ; bien plus : une révolte contre Dieu. L’homme du ressentiment , ce n’est pas le chrétien, c’est le bourgeois dont la morale usurpe l
7 er — au moment du moins où il écrivait L’Homme du ressentiment 47, M. Marcel est catholique. Sa méditation sur le Mystère ontologiqu
8 percer par endroits, dans ce livre, une espèce de ressentiment à l’égard de la Réforme : d’où une série d’erreurs assez grossières s
2 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
9 ther fut un démagogue, un exploiteur de l’éternel ressentiment de la race allemande contre la civilisation romaine. On a poussé la b