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fait le fond de presque toutes les grandes œuvres
romanesques
: une individualité et un milieu social bien défini. À ces deux éléme
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e sujet implicite, nous l’avons dit, de son œuvre
romanesque
. Et c’est par tout ce qu’elle contient d’inexprimé qu’elle atteint en
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attache une importance qui n’est pas uniquement «
romanesque
» — le mouvement du récit se ralentit, au contraire, fâcheusement en
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ciologiques (Rousseau), scientifiques (Saussure),
romanesques
(Sterne, Toepffer), lyriques (les Anglais). Ici, elles imposent une é
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a meilleure œuvre de M. Bost, une espèce de somme
romanesque
des errements de la jeunesse d’après-guerre. La Claire de M. Chardonn
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blait devoir rester le seul tenant du classicisme
romanesque
; mais voici qu’on proclame au contraire l’avènement d’une littératur
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s signes que mes contemporains, sans se lasser du
romanesque
, découvrent que la littérature peut apporter, sous d’autres formes, u
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exemple, que la proportion des ouvrages purement
romanesques
va en diminuant, et cela au profit d’une littérature qui tient à la f
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rité cherche son divertissement dans des fictions
romanesques
. Le roman est un genre bourgeois — et c’est peut-être par là qu’il pl
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e qui « règne » sur le monde comme une fièvre, le
romanesque
éclate, remplit nos vies, ou s’il n’y pénètre pas encore, les baigne
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eurs camps respectifs). Mais sur le plan de l’art
romanesque
, autant que sur le plan généralement humain, je suis contraint de rec