1 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
1 fait le fond de presque toutes les grandes œuvres romanesques  : une individualité et un milieu social bien défini. À ces deux éléme
2 e sujet implicite, nous l’avons dit, de son œuvre romanesque . Et c’est par tout ce qu’elle contient d’inexprimé qu’elle atteint en
3 attache une importance qui n’est pas uniquement «  romanesque  » — le mouvement du récit se ralentit, au contraire, fâcheusement en
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
4 ciologiques (Rousseau), scientifiques (Saussure), romanesques (Sterne, Toepffer), lyriques (les Anglais). Ici, elles imposent une é
3 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
5 a meilleure œuvre de M. Bost, une espèce de somme romanesque des errements de la jeunesse d’après-guerre. La Claire de M. Chardonn
6 blait devoir rester le seul tenant du classicisme romanesque  ; mais voici qu’on proclame au contraire l’avènement d’une littératur
4 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
7 s signes que mes contemporains, sans se lasser du romanesque , découvrent que la littérature peut apporter, sous d’autres formes, u
8 exemple, que la proportion des ouvrages purement romanesques va en diminuant, et cela au profit d’une littérature qui tient à la f
9 rité cherche son divertissement dans des fictions romanesques . Le roman est un genre bourgeois — et c’est peut-être par là qu’il pl
10 e qui « règne » sur le monde comme une fièvre, le romanesque éclate, remplit nos vies, ou s’il n’y pénètre pas encore, les baigne
5 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
11 eurs camps respectifs). Mais sur le plan de l’art romanesque , autant que sur le plan généralement humain, je suis contraint de rec