1 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
1 nisme est compromis virtuellement dès lors que la science proclame son autonomie vis-à-vis de la métaphysique. L’équilibre de n
2 ’égalité de droit de ces deux disciplines. Car la science à peine libérée, demande la tête de la métaphysique. Elle n’entend qu
3 de la pensée scientifique. Cherchant des lois, la science ne peut trouver que des déterminismes. Soumettre l’esprit à ses métho
4 érialisme entreprise par certains philosophes des sciences fait-elle songer à l’activité de cet espion anglais qui parvint duran
5 laboratoire dont notre pensée reste imprégnée. La science se moque des nuages qui animaient la matière d’intentions morales. El
6 lois peser sur notre vie : s’agit-il d’enrayer la science  ? Non, mais que l’esprit qui l’a créée, la surpasse7. Seul un parti p
7 u ne méritera pas son nom. … Or, la rigueur de la science ne saurait être surmontée, sinon par la rigueur au moins égale d’une
8 jectifs » que les faits physiques élaborés par la science . Mais, participant de notre volonté et de la grâce, ils échappent à c
9 rgson, dans un discours prononcé à l’Académie des sciences morales et politiques, en 1914, a posé le problème en termes fort net
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
10 u’il n’est plus permis de nos jours… bref, que la science a changé tout cela. C’est précisément à ce sécularisme que répond M.
3 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
11 il 1932)r Imaginez un membre de l’Académie des sciences qui serait aussi directeur de la Comédie française et ministre de l’I
4 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
12 e des philosophes qui se montre. Sous prétexte de science , la pensée de nos maîtres s’est tellement détachée du concret de nos
5 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
13 s. Elle n’est que ma dégradation. Et toutes les «  sciences  » qui étudient ses « lois » historiques ou sociologiques sont comme u
6 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
14 ? On sait que ce régime s’est établi au nom de la Science , qui est son Dieu. On sait aussi qu’il n’a pas hésité à condamner la
15 edisait l’hypothèse marxiste. Croyant servir leur science , ils commandent à la science…, etc. Mais, afin que nul ne se croie ju
16 Croyant servir leur science, ils commandent à la science …, etc. Mais, afin que nul ne se croie justifié, voici pour les conser
17 antien, conscience, notion humaine de la justice, science , mystique de la vie, droit au bonheur, etc., l’idée de la toute-puiss
18 de la seule Justice, de la seule Vie, de la seule Science , du seul Bonheur ; et qu’il a seul le droit de contredire nos notions
7 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
19 s sociales, historiques et économiques ? Toute ta science ne s’occupe-t-elle pas, justement, à les découvrir ? Au besoin, à les