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nisme est compromis virtuellement dès lors que la
science
proclame son autonomie vis-à-vis de la métaphysique. L’équilibre de n
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’égalité de droit de ces deux disciplines. Car la
science
à peine libérée, demande la tête de la métaphysique. Elle n’entend qu
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de la pensée scientifique. Cherchant des lois, la
science
ne peut trouver que des déterminismes. Soumettre l’esprit à ses métho
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érialisme entreprise par certains philosophes des
sciences
fait-elle songer à l’activité de cet espion anglais qui parvint duran
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laboratoire dont notre pensée reste imprégnée. La
science
se moque des nuages qui animaient la matière d’intentions morales. El
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lois peser sur notre vie : s’agit-il d’enrayer la
science
? Non, mais que l’esprit qui l’a créée, la surpasse7. Seul un parti p
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u ne méritera pas son nom. … Or, la rigueur de la
science
ne saurait être surmontée, sinon par la rigueur au moins égale d’une
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jectifs » que les faits physiques élaborés par la
science
. Mais, participant de notre volonté et de la grâce, ils échappent à c
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rgson, dans un discours prononcé à l’Académie des
sciences
morales et politiques, en 1914, a posé le problème en termes fort net