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ible de ce côté. Mais du nôtre ? « Vous ne pouvez
servir
Dieu et Mammon », dit l’Écriture. ⁂ Je ne pense pas qu’une attitude
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itablement homme, c’est avoir accès au divin. Que
sert
de parler d’humanisme « chrétien » ? L’humanisme est de l’homme, le c
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le château d’If et N.-D. de la Garde : « J’étais
servi
— s’écrie-t-il. — Les premiers emblèmes venus à ma rencontre étaient
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cipes définis — je ne dis pas de cadres — qui lui
servent
de thèmes dans ses variations, d’appui dans ses tâtonnements, de réac
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qu’elle n’est plus du tout exemplaire et ne peut
servir
ni le catholicisme (le milieu protestant étant nul), ni la foi chréti
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ue française , chez Fourcade et aux Éditions « Je
sers
». i. Rougemont Denis de, « Kierkegaard », Foi et Vie, Paris, mai 1
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car son œuvre écrite n’est encore qu’un moyen de
servir
et d’agir. C’est un homme sans partage et sans failles. Quelques arti
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Il s’attache à cette expression un « ennui » qui
sert
à beaucoup de prétexte pour n’y point réfléchir. Mais à tout prendre,
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ur nul parti, ne saurait, pour les mêmes raisons,
servir
d’objet à notre jugement. Bien plutôt c’est lui qui nous juge. Il y a
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croyances, en faveur des hommes concrets ? À quoi
sert
cette philosophie ? Que fait-elle pour les hommes ? Que fait-elle con
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et de leur rendre un culte de latrie. Tous, nous
servons
ces dieux, tous, nous leur obéissons, et certains d’entre nous sont p
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doute n’avons-nous pas toujours conscience de les
servir
. Vous me direz peut-être que, pour votre compte, la classe ou la race
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partout, il est dans tout, il est tout et tous le
servent
. ⁂ Destin du siècle, destin des ismes, dévorants et inhumains. Je vo
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angoisse qu’elle n’avait plus rien ni personne à
servir
. C’est l’état le plus dégradant qui soit. On vit alors, chez les meil
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arce qu’il n’avait pas de vocation, qu’il a voulu
servir
la vocation de sa race. La meilleure preuve, d’ailleurs, de l’origine
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historiques et révolutionnaires peuvent bien nous
servir
de refuge, de prétextes et d’arguments au service de nos passions, au
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at de faillir à sa vocation. Ces réflexions nous
serviront
, pour aujourd’hui, d’introduction à deux essais de philosophes chréti
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a plus aucun but, au-devant de souffrances qui ne
servent
à rien. Ce sont des hommes très simples et qui s’expriment difficilem
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ommanderont aussi à leur Dieu, tout en croyant le
servir
. » Formule qui n’est pas valable pour le seul pape de Rome et pour le
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u’elle contredisait l’hypothèse marxiste. Croyant
servir
leur science, ils commandent à la science…, etc. Mais, afin que nul n
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s’oppose. Que devient alors notre effort ? Il ne
sert
plus de rien. Nous n’en ferons plus ! Nous refusons de jouer si, d’av
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l’individu grec, puisqu’il se soucie davantage de
servir
que de se distinguer. Il n’est pas non plus le simple rouage, la simp
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de persona (rôle social). C’est ce même terme qui
servira
aux premiers philosophes chrétiens à désigner la réalité de l’homme d