1
urs électeurs une organisation complète du monde,
seule
méthode capable d’empêcher les abus des capitalistes. Du même coup, e
2
orgueilleux et naïf messianisme matérialiste ? Un
seul
doute effleure Ford vers la fin de son livre : Le problème de la pro
3
otre passion de posséder la matière du prix de la
seule
possession véritable, la connaissance de l’Esprit. C’est déjà un fait
4
abandonne donc la place, mais c’est pourtant lui
seul
qui nous permettrait de jouir de notre liberté. La victoire mécanicie
5
quelque sensibilité spirituelle deviennent par le
seul
fait de rester eux-mêmes dans un monde fordisé, des anarchistes. Car
6
n, mais que l’esprit qui l’a créée, la surpasse7.
Seul
un parti pris constant en faveur de l’esprit peut maintenir l’équilib
7
rticipe, en esprit, d’un ordre transcendental. Un
seul
fut parfaitement Homme : c’était un dieu. N’attendons pas d’un nouvel
8
inir : « Dieu n’est pas, donc je suis » ; l’homme
seul
; areligieux, relié à rien. Plutôt aventurier que conquérant ; plutôt
9
décrire la figure de l’homme moderne en proie au
seul
orgueil de vivre, dénonce la paresse de la religion qui n’est qu’un r
10
mme devrait vivre… — Être un homme nous paraît la
seule
entreprise légitime… — Nous pensions vie intérieure, quand il fallait
11
as un poncif. L’idéal d’un artiste protestant, le
seul
auquel sa foi puisse prétendre, ce n’est pas de réaliser un art « pro
12
rituels et matériels réservés autrefois à ceux-là
seuls
qui, par leur naissance ou leur milieu, se trouvaient préparés pour e
13
sations spiritualistes comme le bien suprême dont
seuls
quelques élus peuvent se rendre dignes (les brahmanes par exemple, le
14
mer et noble, du consentement aux lois de la vie.
Seule
épreuve qui permette de nous en libérer. Car au-dessus des fatalités
15
fus reçu dans le sein de l’Église catholique… le
seul
acte de ma vie que je suis parfaitement certain de n’avoir jamais reg
16
les questions religieuses, sans fausse honte ». (
Seuls
, parmi les catholiques, son mari et sa tyrannique belle-mère sont net
17
on de son héroïne nous paraît être à tel point la
seule
solution possible qu’elle n’est plus du tout exemplaire et ne peut se
18
s appelons bonheur ou malheur. Et c’est la vérité
seule
qu’il s’agit d’attendre. Dans Daphné Adeane, dans La Princesse Blanch
19
rkegaard était : Comment deviendrai-je chrétien ?
Seul
un protestant pouvait trouver pareille formule. Le héros de la foi, K
20
sociaux. Or, en face de la montagne, l’homme est
seul
. Sénancour, c’est tout autre chose. Lui, cherche un refuge. « Dans l’
21
Dans l’isolement des cimes ou des hautes vallées,
seul
avec la nature dans une sorte d’ivresse morne, il parvenait à oublier
22
voie », note fort justement notre auteur. L’homme
seul
en face des sommets, qu’écrira-t-il ? — Shelley : « L’immensité de ce
23
antagonismes. Dès lors, la morale qui, pourtant,
seule
l’intéresse, n’est plus qu’un jeu d’équilibres relatifs, variables et
24
e acceptée ou surmontée. Pour moi je tiens que le
seul
problème éthique est de se réaliser comme unité. Non point parce qu’u
25
uctive, qu’il est, depuis l’édit de Nantes, notre
seul
notable écrivain protestant26, non exilé, non réfugié, mais d’éducati
26
le furent jamais. Serait-ce la civilisation toute
seule
qui les aurait travaillées à ce point et les aurait ainsi fouillées ?
27
dans une intimité purement humaine : Et l’homme
seul
répond à l’homme épouvanté 27. Il nous manque une étude sur les crit
28
l appelle « positivistes » restent à peu près les
seuls
valables, à nos yeux, qui aient été émis en leur temps. La critique l
29
erre, Jean Schlumberger semblait devoir rester le
seul
tenant du classicisme romanesque ; mais voici qu’on proclame au contr
30
er une volonté consciente de réduire l’homme à sa
seule
virtu. Donc : refus ou ignorance des catégories de la grâce et du péc
31
nc l’homme, dans sa condition menacée, réduit aux
seules
défenses qu’invente son calcul. Voici l’homme livré à lui-même, c’est
32
ns pas connu, alors que nous-même… Alors que Dieu
seul
juge. Si nous refusons le nom de chrétien à cet homme dont l’éthique,
33
istianisme ou marxisme. Ce qui revient à dire que
seuls
les chrétiens, en tant que chrétiens, non pas en tant que bourgeois,
34
leur rappeler des vérités d’un ordre tel que leur
seule
existence — si elles existent — rende vaines les passions égarées, re
35
ie de chaque jour, si cet appel n’a pas trouvé la
seule
réponse possible et réelle dans le message évangélique. Et je demande
36
rossier » des dangers inhérents à l’être concret.
Seul
l’Évangile — je ne dis pas les religions, ni leurs morales, ni leurs
37
areil d’assurance dans le monde et contre Dieu —,
seul
l’Évangile est radicalement dangereux, — salutaire. 38. Aux Édition
38
lier des romans nouveaux, mais le fait est que le
seul
grand succès, dans cet ordre, est allé au livre de Céline, Voyage au
39
ntiers s’exaltent pour une dictature qui tire son
seul
prestige de la misère et de la lâcheté publique. Des provinces entièr
40
uce à équilibrer des budgets, dont ils seront les
seuls
bénéficiaires. La corruption s’étale, flétrie avec grandiloquence par
41
n ? En réalité, il n’y a de destin que personnel.
Seul
un homme peut avoir un destin, un homme seul, en tant qu’il est diffé
42
nel. Seul un homme peut avoir un destin, un homme
seul
, en tant qu’il est différent des autres hommes. Napoléon, César, Léni
43
e, sans le savoir, ils nous enseignent que la loi
seule
nous conduit à la liberté. Adhérez au déterminisme de l’histoire, aba
44
peut se formuler ainsi : qui a bu boira ! Or, la
seule
chose intéressante au monde — et je dis intéressante au sens le plus
45
intéressante au sens le plus profond du terme, la
seule
chose qui intéresse chacune de nos vies —, c’est qu’il y ait parfois,
46
séculaires, qui rêve et qui pour comble, se croit
seul
éveillé et conscient des réalités. ]’ai essayé de vous montrer qu’en
47
nnaliste, la pensée qui ne veut s’attacher qu’aux
seules
tâches immédiates. La personne, au contraire, de l’individu perdu dan
48
homme à son prochain. Or, ce prochain, l’Évangile
seul
nous le désigne, bien plus : il nous ordonne de l’être. Et voilà la r
49
, fonde notre destin personnel, et fonde aussi la
seule
société possible. Ne nous y trompons pas : l’acte de la miséricorde,
50
onnaire qui ait jamais paru dans notre monde. Lui
seul
suffit à vaincre les destins du siècle, lui seul atteint le mal à sa
51
seul suffit à vaincre les destins du siècle, lui
seul
atteint le mal à sa racine, qui est en nous, qui est au fond de notre
52
fier au tirage moyen d’un ouvrage « difficile ».
Seul
, Bergson, avec ses Deux Sources pourrait s’aligner, dans cet ordre, a
53
lculables. Qui donc voudra les encourir ? Ceux-là
seuls
qui n’ont pas à subordonner la vérité de leur message aux calculs de
54
amais. Si la pensée chrétienne existe, c’est à ce
seul
niveau où pensée et action se confondent. Si elle veut être digne de
55
Si elle veut être digne de son nom, c’est à elle
seule
d’oser ce que les autres ne peuvent pas oser. C’est à elle seule d’en
56
que les autres ne peuvent pas oser. C’est à elle
seule
d’entreprendre la confrontation générale des valeurs dont le monde cr
57
isie, et le peuple à sa suite, révèrent. Car elle
seule
, si toutefois elle reste digne de sa charge, elle seule n’a rien à y
58
si toutefois elle reste digne de sa charge, elle
seule
n’a rien à y perdre. Faut-il rappeler ici les graves avertissements
59
ue tout le monde sent nécessaire, mais que la foi
seule
rend possible. ⁂ Max Scheler se rattachait à l’école allemande des ph
60
fenses (« car ils ne savent ce qu’ils font — nous
seuls
savons ce qu’ils font »). On parle aussi de l’« amour de ses ennemis
61
as vertu) recommandée aux pauvres, et aux pauvres
seuls
, est désormais une vertu sans lien avec la notion de sacrifice ou ave
62
âme sait qu’elle n’est pas à elle-même, et que le
seul
usage entièrement légitime qu’elle puisse faire de sa liberté consist
63
l trouverait sa place, entre la prière et l’acte,
seuls
moments d’unité dans la vie du chrétien. v. Rougemont Denis de, « D
64
paisiblement, en « saluant tous les hommes ». Le
seul
événement extérieur de sa vie fut la rupture de ses fiançailles avec
65
ion, remplissent plusieurs volumes. Ce furent les
seuls
écrits qu’il publia sous son nom. Tous ses ouvrages esthétiques et ph
66
rkegaard était : Comment deviendrai-je chrétien ?
Seul
, un protestant pouvait trouver pareille formule… L’œuvre la plus prof
67
ns n’y changera rien. Que la révolte, enfin, d’un
seul
contre la foule serait la marque d’un affreux orgueil, si d’abord ell
68
si l’acte de l’homme les dément ; que la foi d’un
seul
est plus forte, dans son humilité et devant Dieu, — car c’est la foi,
69
, il s’en ira mourir à l’hôpital, en disant à son
seul
ami : « Salue tous les hommes ! Je les aimais bien tous… » Cela se p
70
e l’absurde », sur le chemin que Dieu lui montre,
seul
. Cette primauté de la foi sur les vérités qui font vivre, cette solit
71
s les airs et peu à peu rend son corps invisible,
seule
subsiste sa face hilare au-dessus des bourreaux pantois, qui se refus
72
scandaleux ? Parce que « la crainte infinie d’un
seul
danger nous rendrait tous les autres inexistants ». Mais cette « crai
73
s autres inexistants ». Mais cette « crainte d’un
seul
danger » peut-elle encore, sérieusement, caractériser le chrétien moy
74
faudrait cependant choisir. Ou bien tu crois à la
seule
grâce de Dieu, dans l’abîme infini où tu te vois, ou bien tu crois au
75
épens de l’extravagant. Mais Kierkegaard rit tout
seul
de la foule, de son sérieux théâtral et fervent, et de sa peur de tou
76
ce qu’on veut, que ce soit le bien ou le mal, une
seule
condition leur importe : qu’ils soient toujours comme tous les autres
77
les autres, qu’ils imitent, et n’agissent jamais
seuls
. » Mais ce que Dieu exige, c’est précisément le contraire : il veut l
78
solitaire que Kierkegaard appelle, c’est l’homme
seul
devant son Dieu. Mais comment cela se peut-il, sinon par l’effet de l
79
ier une négation, c’est s’enfoncer dans le néant.
Seule
la révolte du chrétien est position, obéissance. Si donc l’appel de D
80
qui se tient à l’origine de sa réalité. Celui-là
seul
connaît sa fin et l’ordre éternel de sa vie. Celui-là seul peut juger
81
aît sa fin et l’ordre éternel de sa vie. Celui-là
seul
peut juger de ce monde, et s’y tenir comme n’étant pas tenu. Il n’est
82
ous veut tout simplement irresponsables, par cela
seul
, nous la flattons, et elle nous reconnaît pour siens. Elle est le lie
83
urance dans le crime. « Il ne s’est pas trouvé un
seul
soldat pour oser porter la main sur Caïus Marius, telle est la vérité
84
n celles de la foule qui n’a pas de mains. » Tout
seul
en face du Christ, un homme oserait-il s’avancer et cracher au visage
85
de s’en affranchir sera d’en revoir l’origine. »
Seul
, Kierkegaard sait nous la désigner, dans le refus de cette « catégori
86
liberté, la dignité de l’homme, c’est qu’il soit
seul
le sujet de sa vie. Mais encore faut-il se garder d’entendre l’expres
87
it sa mort avec une sorte de sobriété… Le croyant
seul
agit, et seul il peut être sujet de son action, mais c’est qu’il est,
88
c une sorte de sobriété… Le croyant seul agit, et
seul
il peut être sujet de son action, mais c’est qu’il est, dans l’autre
89
de Kierkegaard est vraie. La sujétion totale est
seule
active. Elle est aussi présence au monde. Dans ce temps de la masse,
90
t fuite sans fin dans le passé ou l’avenir. Un
seul
utile à tous La phrase de Carlyle est connue, résumant l’utilitari
91
rkegaard que sa « catégorie du solitaire » est le
seul
fondement pratique d’une collectivité vraiment vivante. Cependant, il
92
enne. Kierkegaard s’adresse au chrétien, comme au
seul
responsable parmi nous. Il sait bien qu’en tous temps, le malheur de
93
t au sel qu’il faut rendre sa saveur, c’est à lui
seul
que l’on peut reprocher d’être insipide. Rien ne sera jamais réel pou
94
éel pour tous, si rien d’abord n’est réel pour un
seul
. Maintenant, il faut être « l’impossible » : il faut être le solitair
95
tis est. L’aveu total de notre désespoir témoigne
seul
de la consolation. 52. Journal, tome X. 53. « Là encore, le cler
96
es très simples et qui s’expriment difficilement.
Seul
Pillau, le ministre, l’incarnation de leur nation, saura leur dire le
97
e, et c’est en elle qu’ils communient, c’est elle
seule
qui les soutient dans les plus effroyables et dégradantes épreuves. E
98
uté des gens cimentés par le malheur, ça c’est la
seule
vraie communauté qui puisse exister pour un peuple ». ⁂ J’ai tenu à c
99
ières phrases de Pillau, n’apparaît-il pas lié au
seul
malheur des hommes ? Et n’est-ce point là le vrai tragique de l’Allem
100
ns le monde, c’est l’œuvre d’un blanc. Les blancs
seuls
ont su créer des empires solides, des valeurs morales stables, de la
101
leurs morales stables, de la fidélité. Les blancs
seuls
savent tenir une parole, se sacrifier à une cause désespérée, tenir l
102
Malraux que de constater que ses livres sont les
seuls
ouvrages français qu’on puisse comparer, tant pour leur sujet que pou
103
petits. 63. Il est curieux de noter que pas une
seule
femme n’apparaît dans tout le roman. 64. Je ne sais quel sort le Tro
104
uelle que confère la connaissance vivante de « la
seule
chose nécessaire ». Rien de grand, dans l’ordre humain, ne peut être
105
e servir. » Formule qui n’est pas valable pour le
seul
pape de Rome et pour les seuls conciles. Les grands mouvements fascis
106
pas valable pour le seul pape de Rome et pour les
seuls
conciles. Les grands mouvements fascistes ne se réclament-ils pas, eu
107
u de la Bible — ancien et nouveau Testament — est
seul
Maître de la seule Justice, de la seule Vie, de la seule Science, du
108
cien et nouveau Testament — est seul Maître de la
seule
Justice, de la seule Vie, de la seule Science, du seul Bonheur ; et q
109
ment — est seul Maître de la seule Justice, de la
seule
Vie, de la seule Science, du seul Bonheur ; et qu’il a seul le droit
110
aître de la seule Justice, de la seule Vie, de la
seule
Science, du seul Bonheur ; et qu’il a seul le droit de contredire nos
111
Justice, de la seule Vie, de la seule Science, du
seul
Bonheur ; et qu’il a seul le droit de contredire nos notions, trop hu
112
de la seule Science, du seul Bonheur ; et qu’il a
seul
le droit de contredire nos notions, trop humaines et trop intéressées
113
par la foi, qui est don gratuit et œuvre de Dieu
seul
; opposition de cette justice de Dieu à la justice des hommes et de l
114
tale et perpétuelle, une actualité permanente, la
seule
chose qui change quelque chose au déroulement calculable du temps, qu
115
ncevoir ce paradoxe ou ce scandale d’une éternité
seule
actuelle ? C’est un mystère plus profond que notre vie, et la raison
116
’est un mystère que le croyant pressent et vit au
seul
moment de la prière. « Demandez et l’on vous donnera », dit le même D
117
est une décision dans le passé ! Quand c’est elle
seule
qui définit notre présent ! Est-ce que nos objections « philosophique
118
— On peut aussi nier l’éternité, et affirmer que
seul
existe notre temps. Dans ce cas, tu n’as rien prouvé. L. — On ne pro
119
ieu a tout prévu que nous avons en lui, et en lui
seul
, la liberté. Mais cela n’apparaît qu’à celui qui ose aller jusqu’aux
120
lut est un problème de vie ou de mort. Or, il est
seul
en cause pour le théologien. Et tout est clair lorsque l’on a compris
121
ité, c’est bien du même problème qu’il s’agit. Le
seul
problème, dès qu’on en vient à une épreuve radicale de la vie. Au « t
122
conflits ne sont en réalité que les aspects d’une
seule
et même opposition fondamentale, réfractée à des niveaux différents.
123
trine de la multiplicité des dons accordés par le
seul
et même Père, ou doctrine de la pluralité des demeures dans un seul e
124
ou doctrine de la pluralité des demeures dans un
seul
et même ciel, ou encore doctrine de la diversité des membres d’un seu
125
encore doctrine de la diversité des membres d’un
seul
et même corps : quel que soit le nom qu’on lui donne, en aucun cas el
126
à la fois engagé et libéré, et ceci en vertu d’un
seul
et même fait : la vocation qu’il a reçue de l’Éternel. Cet homme d’un
127
e et le fédéralisme sont les aspects divers d’une
seule
et même attitude spirituelle. Ils s’engendrent l’un l’autre et s’appu
128
même déformés. À mon sens, le fédéralisme est la
seule
possibilité pratique de réaliser la vraie démocratie. Mais il a le gr
129
et social sans précédent dans notre histoire. La
seule
espérance et aussi la seule possibilité qui demeure, c’est l’organisa
130
ns notre histoire. La seule espérance et aussi la
seule
possibilité qui demeure, c’est l’organisation fédéraliste du monde. E
131
, c’est l’organisation fédéraliste du monde. Elle
seule
apporte du nouveau. Elle seule répond à la fois aux aspirations confu
132
ste du monde. Elle seule apporte du nouveau. Elle
seule
répond à la fois aux aspirations confuses des peuples et aux nécessit
133
ples et aux nécessités pratiques de la paix. Elle
seule
s’oppose à la fois au capitalisme individualiste et au totalitarisme
134
ù se voient aujourd’hui les Églises, si cette foi
seule
demeure, elle sera suffisante. Aussi bien, certaines raisons de croir
135
osophie de la personne qu’elle implique, sont les
seules
bases actuellement concevables pour un ordre nouveau du monde. (La «
136
ménisme et la philosophie de la personne sont les
seules
bases actuellement existantes, et sur lesquelles on puisse construire
137
n du Conseil œcuménique se trouve être de fait la
seule
Internationale en formation. On sait assez que les Internationales id
138
e la personne et la politique du fédéralisme sont
seules
en mesure, aujourd’hui, de synthétiser les vérités disjointes et tour
139
x chapitres 1-3. Le mouvement œcuménique est donc
seul
en mesure de préparer la réconciliation des adversaires actuels. Il n
140
différences libérées, leur identité retrouvée. Le
seul
moyen de les inciter à éviter nos maux, au lieu de les revendiquer, s
141
ur sa fédération, c’est priver le tiers-monde des
seuls
moyens de s’en tirer sans catastrophes. Car s’il est vrai que l’Europ
142
os industries, il est non moins vrai que l’Europe
seule
peut produire les anticorps des toxines qu’elle a répandues, et peut
143
e le faire peut-être un jour… Je n’en vois pas un
seul
qui ait risqué l’expérience, dont rien ne prouve qu’elle n’eût pas ré
144
e et réelle, la société stato-nationaliste a pour
seule
vertu d’être là. Écoutons Baudelaire : Le monde va finir. La seule r
145
là. Écoutons Baudelaire : Le monde va finir. La
seule
raison pour laquelle il pourrait durer, c’est qu’il existe. Que cette
146
adis, qui écrit : « L’expérience nous apprend que
seules
des unités de dimensions restreintes peuvent être appréhendées par le
147
sez pour tout écraser, je les dirai pédagogiques,
seules
capables de surmonter notre inertie et l’invincible propension des ch
148
ces deux questions, curieusement, il n’est qu’une
seule
réponse possible et c’est : — Toi-même ! Car il arrivera ce que nous
149
isément calculé, et d’abord celui d’être tous des
seuls
en masse, il vous reste à vous convertir, à faire votre révolution, c
150
acle du réveil après le cauchemar où l’on hurlait
seul
, sans écho, devant l’indicible injustice de l’écrasement imminent. Co