1
impression de netteté, de solidité, de propreté.
Si
l’on ajoute à cela le plaisir qu’on éprouve toujours au récit de succ
2
qui n’a l’air de rien : « Nul ne contestera que,
si
l’on abaisse suffisamment les prix, on ne trouve toujours des clients
3
oir la duperie : ce jeu du chat et de la souris ;
si
Ford relâche les ouvriers et leur donne une apparence de liberté, c’e
4
s techniciens imparfaits. Il ne se demande jamais
si
la technique même la plus perfectionnée mérite les sacrifices qu’elle
5
ieux à faire que de philosopher. Je le veux. Mais
si
j’insiste un peu sur ses « idées », c’est pour souligner ce hiatus ét
6
ité avec un état de choses funeste pour l’Esprit.
Si
l’Esprit nous abandonne, c’est que nous avons voulu tenter sans lui u
7
nt matériel, avec l’arrière-pensée sournoise que,
si
cela ratait, on gardait toutes les autres chances. J’accorderai que l
8
s. Dans cette mécanique bien huilée, au mouvement
si
régulier qu’il en devient insensible et que la fatigue semble dispara
9
s temps de se désintéresser simplement des buts —
si
bas soient-ils — d’une civilisation sous le poids de laquelle nous ri
10
t pré-communiste. Le cas Malraux, — le cas Perken
si
vous voulez. Les personnages de M. Malraux se ressemblent dans le sou
11
commun dénominateur » d’expression et de masques
si
dissemblables, n’est-ce point cela qui forme l’autoportrait le plus p
12
at de pureté extrême qui est l’état économique ».
Si
les mœurs sont occidentales, les habitants, eux, viennent de tout l’O
13
iers le contraire, mais M. Nizan est de ces gens,
si
nombreux aujourd’hui (Freud, etc.), qui croient que le pire est toujo
14
déalisme qu’elle combat avec raison ? D’ailleurs,
si
je vois bien que le propos de M. Nizan n’est pas de nous rendre le go
15
inture d’Aden est assez faite pour y contribuer :
si
grande est en effet l’horreur que M. Nizan éprouve à contempler « ce
16
pas sur ce Luther prêché par nos missions (c’est
si
vraisemblable !) mais un normalien se devrait de savoir que l’œuvre m
17
ècle — ou en enfant : il y a lieu de s’attrister.
Si
vous demandez au philosophe de quel droit il pratique cet étrange sec
18
une singulière incohérence. Et il est évident que
si
cet idéaliste se trouve mis en présence d’un marxiste, par exemple, q
19
est ici le nœud de divergence entre eux et nous —
si
le mal est si grand qu’ils le montrent — et il l’est — aucun boulever
20
d de divergence entre eux et nous — si le mal est
si
grand qu’ils le montrent — et il l’est — aucun bouleversement matérie
21
— aucun bouleversement matériel n’y pourra rien,
si
radical soit-il. Un pessimisme aussi féroce que celui de MM. Malraux,
22
re ; demandons-en l’explication à la Préface d’un
si
brillant catalogue. Parce qu’ils parlent un peu pour nous et parce q
23
ouvent fort admirative. Le titre de l’exposition,
si
l’on y prend bien garde, éludait dans une certaine mesure la question
24
ivent à leur origine ou à leur foi réformée, — et
si
ces traits ne constituent pas, en définitive, les éléments d’un art p
25
Pas de trace de « puritanisme » chez des artistes
si
différents les uns des autres. Au contraire, une vitalité, une joie d
26
n-haut est contrecarré par le dieu de l’Amour. «
Si
vous désirez savoir comment cela s’applique à mon histoire, dit l’aut
27
toire, dit l’auteur dans sa préface, lisez-la, et
si
vous la lisez, ne dites pas à vos amis ce qui arrive avant qu’ils n’a
28
un milieu privilégié pour l’étude du cœur humain.
Si
le rôle de l’art est d’affiner nos âmes au contact de réalités plus p
29
là choisir un sujet inévitablement tragique. Car
si
l’histoire de l’ascension d’un caractère, d’une volonté, d’une âme vi
30
re, fâcheusement en ces pages — et qui s’explique
si
l’on a lu la phrase par quoi se termine un précédent livre de notre a
31
pçonner ici quelque invraisemblance psychologique
si
l’on ne s’apercevait que M. Baring, lui-même, manifeste cette tournur
32
la montagne, c’est surtout le fond des vallées, —
si
l’on ose dire, — où il fait vivre d’imaginaires bons sauvages. Et pou
33
une âme chrétienne d’atteindre la grandeur morale
si
elle n’a pas connu, ne fût-ce que par sa puissance de sympathie, la m
34
opre. Mais il n’y a pas là de quoi nous rassurer.
Si
la vie de Kagawa glorifie l’Évangile, elle accuse formellement la gra
35
ment la grande majorité des chrétiens. Tant mieux
si
ce livre nous passionne. Il faudrait surtout qu’il nous trouble. ⁂ L’
36
peu à peu élargies à tout ce vaste empire moderne
si
rapidement envahi par la civilisation d’une Europe dont il rejette la
37
par là que dans sa simplicité, il parvient à être
si
émouvant. On peut dire que dans ces deux gros volumes si nourris, il
38
vant. On peut dire que dans ces deux gros volumes
si
nourris, il n’y a pas deux lignes d’allure conventionnelle, deux lign
39
sa course. Il pensait que c’eût été bien agréable
si
le wagon entier eût été de verre. À partir de Tennoji, le train s’arr
40
entendait une voix intérieure qui lui disait : «
Si
tu te mêles de ces affaires, tu ne seras toi-même, à la fin, pas bien
41
ui s’étend sur toute la terre. Sans se préoccuper
si
c’était le monde ou lui-même qui était fou, Eiichi décida que, de ce
42
acquit au Procureur toute la sympathie d’Eiichi…
Si
c’est à des tâches aussi inutiles que les procureurs passent leur vie
43
mment voulez-vous renverser l’état social actuel,
si
ce n’est par une révolution ? Je vous demande de me dire clairement v
44
farante sincérité de ce récit qu’il faut revenir,
si
l’on veut d’un mot le caractériser. Parmi les innombrables sentiments
45
dité avec laquelle je suis décidé à les formuler.
Si
l’on y voit une regrettable désinvolture vis-à-vis d’un des écrivains
46
ncre ; et que, dans la plupart des autres, il est
si
admirablement habile qu’on vote l’acquittement à main levée, sans exa
47
disproportionné à son objet. Que Gide ne soit pas
si
« mauvais » qu’on l’a dit, — ou qu’il a bien voulu s’en donner l’air
48
ur fin, elle s’érige en dialectique indépendante.
Si
des sophismes de ce genre n’apparaissent pas plus souvent chez d’autr
49
spectateur, de témoin. » (p. 31.) Mais un témoin
si
détaché de soi-même, n’est-ce pas nécessairement un faux témoin ? Éte
50
l ne le croyait. Mais la question reste de savoir
si
cette division interne, une fois reconnue, doit être acceptée ou surm
51
ève. Loti appartient à ce pays de Saintonge, qui,
si
la force de l’unité française n’avait été irrésistible, avait ce qu’i
52
uis qu’elle existe, n’a pas changé de nature, et,
si
elle paraissait autrefois plus simple, c’est qu’elle était peut-être
53
qu’elles posent, chrétiennement, c’est de savoir
si
nous les méritons encore. Comme le disait un homme d’esprit, plus l’a
54
’est pas mauvais de l’actualiser, de le rétrécir,
si
de la sorte nous sentons mieux sa pointe. Les héros du Scandale, prov
55
e poursuit un bonheur purement égoïste, et par là
si
précaire qu’il côtoie bien souvent l’angoisse, ou pis encore : un sen
56
rt honorable du point de vue purement littéraire,
si
l’on tient compte de la faiblesse numérique des protestants français.
57
testants français. Bilan terriblement déficitaire
si
l’on prend au sérieux la grandeur impérieuse et fulgurante du véritab
58
n cette vue, serait bonne, ou du moins meilleure,
si
on la « préservait » du mal. Ainsi Rousseau le libertaire doit et peu
59
stantisme à la négation absolue de son essence35,
si
l’humanité ne possédait d’autres recours que ceux qu’elle peut imagin
60
ntique nouveau Nous voici loin de nos auteurs.
Si
loin qu’en somme ils ne sont guère atteints par tout ceci. Mais quoi
61
’on voit ce « poète des poètes » à la sensibilité
si
authentiquement évangélique — comme celle d’une Lagerlöf — se lier d’
62
i bien avons-nous d’autres raisons d’espérer. Car
si
la forme artistique adéquate au libéralisme fut l’analyse d’états d’â
63
s’est toujours affirmé chrétien, mais d’une façon
si
particulière que les ennemis du christianisme, depuis un siècle, le r
64
ra-t-on d’emblée, le simple fait qu’une équivoque
si
grave subsiste et paraisse avoir été cultivée par Goethe, ne prouve-t
65
aisance ? La question serait tranchée, en effet,
si
nous ne savions rien des circonstances dans lesquelles Goethe évoluai
66
he quelque chose qui, en fin de compte, ressemble
si
étrangement à une indifférence non dépourvue d’orgueil vis-à-vis du S
67
mais il semble que ce ne doive pas être. Ils sont
si
cordialement ennuyeux quand ils s’y mettent que ma vivacité n’y saura
68
eur, orgueil de la raison qui juge ce monde comme
si
Dieu n’existait pas, ou encore : comme si Dieu n’était rien d’autre q
69
e comme si Dieu n’existait pas, ou encore : comme
si
Dieu n’était rien d’autre que l’ensemble des lois de la nature. Ainsi
70
utile, nous apparaît comme Goethe l’inutilisable,
si
nous le jugeons du point de vue d’un parti. Il n’est pas païen, pour
71
e dans cette espèce de sagesse large et optimiste
si
contraire au scandale chrétien, que gît la faiblesse religieuse de sa
72
u, alors que nous-même… Alors que Dieu seul juge.
Si
nous refusons le nom de chrétien à cet homme dont l’éthique, en défin
73
paraît pertinente, mais elle serait plus efficace
si
on la sentait inspirée par un principe spirituel capable de rendre un
74
vérités d’un ordre tel que leur seule existence —
si
elles existent — rende vaines les passions égarées, rende visible l’o
75
érêt humain concret. On lui dira que ce n’est pas
si
grave, que le monde n’est plus mené par les philosophes, qu’il accord
76
proches démesurés. Certes40. Mais dans la mesure,
si
faible soit-elle, où la philosophie actuelle exerce une action, ne fû
77
s le sacrifice à une cause. Je n’insisterais pas,
si
ces traits ne me paraissaient communs à beaucoup de jeunes intellectu
78
mourir. Je demande à M. Nizan, qui est marxiste,
si
la lecture et la pratique de Marx peut apporter une certitude intime,
79
t total, éternel et urgent. Je demande à M. Nizan
si
son appel à une philosophie vraiment humaine, dont les pensées concer
80
e dans chaque situation de sa vie de chaque jour,
si
cet appel n’a pas trouvé la seule réponse possible et réelle dans le
81
oi actuel ». Croit-on vraiment que tout cela soit
si
nouveau ? Croit-on vraiment que, jusqu’à ces dernières années, la civ
82
destin du siècle, tout se simplifie aussitôt ; et
si
, faisant un pas de plus, nous posons la question de notre destin pers
83
st plus complexe ! Non, les problèmes ne sont pas
si
complexes, en réalité, ou s’ils le sont, osons les simplifier. Ce qui
84
de prétextes à refuser de prendre position, comme
si
ce n’était pas là, déjà, prendre une position, mais à coup sûr, la pi
85
du siècle ! Expression curieuse et bien moderne !
Si
nous y regardons de près, nous allons voir que le simple assemblage d
86
re, une passion qui est bien à lui, une vocation.
Si
l’on admet facilement de nos jours, qu’un siècle ait un destin, c’est
87
n la question revient-elle en définitive à savoir
si
la foi des marxistes et des racistes est vraie. Sur quoi se fonde-t-e
88
e dans la direction où il doit tomber fatalement,
si
on le laisse tomber. En cela, ils sont peut-être supérieurs aux libér
89
ention pour les vrais problèmes de nos vies. Mais
si
les journaux disposent de nos vies, l’argent dispose des journaux. Et
90
? Ce n’est pas cela qu’il nous importe de savoir.
Si
j’ai simplifié le tableau, c’est que je veux maintenant dégager le ch
91
ou dans la liberté, vous ne ferez pas une société
si
vous n’avez pas, avant tout, retrouvé le rapport primitif, le rapport
92
est l’état des choses. Public et philosophes ont
si
bien pris l’habitude de s’ignorer, qu’on est en droit de se demander
93
e de s’ignorer, qu’on est en droit de se demander
si
leur rencontre, à supposer qu’elle se produise, ne signifierait pas u
94
t perdu toute commune mesure. Que se passerait-il
si
un beau jour le public se mettait à l’école des penseurs ? On verrait
95
ce sont plus visibles qu’ils ne le furent jamais.
Si
la pensée chrétienne existe, c’est à ce seul niveau où pensée et acti
96
ce seul niveau où pensée et action se confondent.
Si
elle veut être digne de son nom, c’est à elle seule d’oser ce que les
97
t le peuple à sa suite, révèrent. Car elle seule,
si
toutefois elle reste digne de sa charge, elle seule n’a rien à y perd
98
e doit rendre n’est un service rendu au monde que
si
d’abord il est obéissance ? Ce ne sont pas les catastrophes qui devra
99
ration dont témoigne un passage de ce genre. Mais
si
l’on donne raison à sa description du ressentiment — ce que je fais p
100
fais pour ma part sans réserve —, il reste à voir
si
les causes en sont bien celles que Nietzsche allègue. Pour Scheler, l
101
peut créer » (p. 297). Je sens bien qu’un aperçu
si
schématique fait tort au caractère concret de cette méditation. Si so
102
it tort au caractère concret de cette méditation.
Si
son mérite principal est à mes yeux d’avoir revalorisé un certain nom
103
c’est qu’il se faisait du christianisme une idée
si
pure et si absolue qu’il voyait clairement que nul homme ne peut jama
104
l se faisait du christianisme une idée si pure et
si
absolue qu’il voyait clairement que nul homme ne peut jamais se dire
105
e l’esprit… De quoi se plaint l’intelligence ?
Si
l’on en croit les écrits les plus dignes de formuler son opinion, et
106
ue ce moi fût fondé. Ce n’est pas évident de soi,
si
l’on peut dire : les marxistes le nient avec plus de passion que les
107
petit : Que la vie de l’esprit n’est possible que
si
l’on a d’abord assuré l’autre vie, la vie des corps, les conditions p
108
e la foule serait la marque d’un affreux orgueil,
si
d’abord elle ne témoignait d’un ridicule défaut de sens pratique. Et
109
nonyme, que la vie de l’esprit n’est possible que
si
l’on a d’abord renoncé à l’autre vie ; que les lois de l’histoire ne
110
tre vie ; que les lois de l’histoire ne sont rien
si
l’acte de l’homme les dément ; que la foi d’un seul est plus forte, d
111
justice, enfin, et la vertu, n’ont aucune réalité
si
chacun n’est pas à sa place là où la vocation de Dieu l’a mis. Suppos
112
impliquent le martyre des braves chrétiens, comme
si
la religion, de toute éternité, n’était pas au contraire la façon la
113
contemporains que ce pire ne puisse être aggravé,
si
tant est qu’ils s’y abandonnent. Qu’est-ce que l’esprit ? Donc,
114
e ou peut-être même au martyre. Ne soyez donc pas
si
pressés de défendre les « droits » de l’esprit : ce n’est pas une dis
115
oi l’on parle, et ce n’est peut-être possible que
si
l’on sait bien où l’on va. À quoi tend la pensée… de Kierkegaard ? Co
116
e, dans le monde qu’on nous prépare ? Il se peut,
si
pourtant Dieu le veut. L’exigence de Kierkegaard se limite à l’instan
117
ces pauvres qu’on redoute plus qu’on ne les aime…
Si
l’on voulait vraiment un champion de l’esprit, on ferait bien d’aller
118
thèses pour apaiser ce regard qui nous perce, et
si
nous sommes sourds à sa voix, comment étouffer le scandale de cette m
119
rt qui définit le destin de l’esprit parmi nous ?
Si
l’Opinion publique a tué Kierkegaard, elle n’a pas eu de prise sur le
120
eur, ni dans les rangs des troupes d’assaut. Ah !
si
le rire est le propre de l’homme, nous voici devenus bien inhumains !
121
tu vois que la question brûlante, c’est de savoir
si
toi, tu es chrétien, ou bien tu vitupères les sans-Dieu de Russie. Ma
122
sort dans le monde sans esprit, exactement comme
si
l’Esprit n’existait pas ! Serons-nous des témoins ou des espions crai
123
ourquoi ils se sentent unis en elle d’une manière
si
touchante, et c’est ce qu’ils appellent l’amour.57 » Rire du solitair
124
rapporter le sens au centre même de sa pensée, ou
si
l’on veut, de son action. Et ce centre, c’est « la catégorie du solit
125
la révolte du chrétien est position, obéissance.
Si
donc l’appel de Dieu isole du monde un homme, c’est que le monde, dan
126
itence dans la mesure où sa vocation le dépasse ?
Si
Kierkegaard condamne la foule, ce n’est point qu’il la craigne, ou qu
127
able et vaine, qui serait d’un comique insondable
si
seulement l’homme des masses ne venait aujourd’hui s’en prévaloir pou
128
nent les vivants. » Hypothèque sur le passé ! Car
si
les morts gouvernent les vivants, c’est que nul vivant n’ose vivre. E
129
e la Providence ? Et comment se rendre à l’appel,
si
l’on pose ses conditions : « l’intelligible providence surnaturelle !
130
e du moi pur, tel que Fichte l’a follement rêvé ?
Si
c’est le cas, je reste bien tranquille. Ce « moi pur » ne met pas en
131
« moi pur » ne met pas en cause mon désespoir, ou
si
l’on veut, je peux rêver dans le sommeil du désespoir à ma perfection
132
simple objet des lois du monde. La foule attend :
si
tu la suis, elle te méprisera sans doute, mais c’est le sort commun,
133
est le sort commun, tu ne cours pas grand risque.
Si
tu dis non, si tu agis, elle te tuera peut-être, quitte à fleurir ens
134
mun, tu ne cours pas grand risque. Si tu dis non,
si
tu agis, elle te tuera peut-être, quitte à fleurir ensuite la tombe d
135
it de savoir maintenant au nom de quoi tu agiras,
si
tu agis. Un « moi pur », son premier devoir, c’est de persévérer dans
136
n cette extrémité, le compromis se justifie… Mais
si
ton moi n’est pas à toi ? S’il est ta vocation reçue d’ailleurs, et s
137
à toi ? S’il est ta vocation reçue d’ailleurs, et
si
tu l’as reçue en vérité, tu n’as plus à choisir, ta mort est derrière
138
oserait affirmer que cette « catégorie » lui soit
si
familière qu’il puisse la considérer, sans autre, comme donnée ? La t
139
des autres, et personne ne se sent atteint, mais
si
l’on parle au solitaire de son angoisse, c’est de la mienne. Kierkega
140
tre insipide. Rien ne sera jamais réel pour tous,
si
rien d’abord n’est réel pour un seul. Maintenant, il faut être « l’im
141
uotidiennes est encore un prétexte de l’angoisse.
Si
la vie quotidienne est si peu dramatique, cela ne signifie pas que le
142
prétexte de l’angoisse. Si la vie quotidienne est
si
peu dramatique, cela ne signifie pas que les questions dernières ne s
143
é par ce livre la grandeur d’une telle espérance,
si
l’on veut juger sainement la politique étrange de cette nation. Mais
144
t et depuis 1800 ans, à la disposition de chacun.
Si
malgré cela, l’époque actuelle est, dans son esprit, tout à fait hist
145
gions, cette sentence est grossière, voire naïve,
si
Nietzsche entendait parler de la foi. La foi, qui donne à l’homme la
146
ort, pour leur donner la vie. Il s’agit de savoir
si
la nature actuelle de l’homme est bonne ou mauvaise. La foi nous mont
147
nd avec puissance cette vérité fondamentale. Mais
si
Nietzsche croit autre chose, s’il croit que la nature est bonne, pour
148
croit que la nature est bonne, pourquoi crie-t-il
si
fort que « l’homme est quelque chose qui doit être surmonté » ? Il n’
149
enseur qui a entrepris d’ébranler nos fondements.
Si
j’essaie de m’expliquer cette espèce de déception que me procure la c
150
de la notion « de la famille patriarcale ». Comme
si
l’on ne pouvait pas soutenir l’inverse ! et avec beaucoup plus de vra
151
e un ouvrage capital : ils s’étonnent d’y trouver
si
peu de substance théologique et tant de plaisanteries parfois grossiè
152
ist : « … Et toi, maintenant, crois-tu cela ? » —
Si
tu le crois, si tu as reçu la foi, il n’est plus rien de « difficile
153
, maintenant, crois-tu cela ? » — Si tu le crois,
si
tu as reçu la foi, il n’est plus rien de « difficile » dans les asser
154
n. Nous n’en ferons plus ! Nous refusons de jouer
si
, d’avance, le vainqueur a été désigné par un arbitre qui ne tient pas
155
ix. Non seulement prévu, mais accompli ! C. M. —
Si
c’était vrai, je préférerais encore nier ce Dieu qui prétend voir plu
156
idée fausse qu’elle s’en formait… Tu affirmes que
si
Dieu prévoit tout, tu es alors dispensé d’agir, et que ce n’est plus
157
que ce n’est plus la peine de faire aucun effort.
Si
tout est décidé d’avance, il n’y a plus qu’à se laisser aller à la ma
158
ère des musulmans. C’est peut-être mal raisonner.
Si
ton effort aussi était prévu ? Pourrais-tu ne pas le fournir ? Et si
159
était prévu ? Pourrais-tu ne pas le fournir ? Et
si
tu décidais : « Je suis, donc Dieu n’est pas !70 », qui t’assurerait
160
décision. Et nous n’aurons pas dialogué en vain,
si
nous avons pu dégager l’alternative du libre arbitre, telle qu’elle s
161
simple absurdité. Mais alors, on peut se demander
si
ceux qui refusent le christianisme échappent vraiment à la difficulté
162
stianisme échappent vraiment à la difficulté ; ou
si
, au contraire, ils ne la retrouvent pas, mais dans un plan où elle re
163
Je ne reconnais aucun de mes livres pour adéquat,
si
ce n’est peut-être le De servo arbitrio et le Catéchisme. » 69. Luth
164
te où elle fut l’expression directe de leur être.
Si
le mouvement œcuménique veut agir, et il le doit, il faut qu’il recon
165
hommes et à quels problèmes publics on a affaire.
Si
l’on se trouve en opposition avec le groupe, on a la possibilité maté
166
ossibilité matérielle d’y faire entendre sa voix.
Si
cela ne suffit pas, on peut changer de groupe. L’on n’est donc pas is
167
le conflit en cours est insoluble dans son plan.
Si
le totalitarisme triomphe définitivement des démocraties, ce sera la
168
ation de la conscience occidentale. D’autre part,
si
les démocraties capitalistes et individualistes triomphent, aucun pro
169
des partis est un appel à une autorité nouvelle.
Si
les Églises n’y répondent pas, personne d’autre, je le crains, ne rép
170
le crains, ne répondra. Avant même de se demander
si
les Églises peuvent répondre, il faut qu’elles comprennent qu’elles l
171
dent-ils pas dans la réalité de la foi ? Certes !
Si
les Églises sont fidèles à leur chef, elles savent qu’il règne et cré
172
e apparente où se voient aujourd’hui les Églises,
si
cette foi seule demeure, elle sera suffisante. Aussi bien, certaines
173
soit tentant pour le tiers-monde. Quant à savoir
si
le tiers-monde sera tenté, et tirera de sa libération les conclusions
174
esque toujours de « pollution », notez cela ! —
Si
je comprends bien, vous n’avez avec vous ni les gouvernements ni les
175
), pour qui l’Europe de demain ne sera viable que
si
elle se recompose sur la base de quelque 140 régions autonomes, dont
176
donc à l’Europe des régions ? — Sans aucun doute,
si
les vues justes nous conduisaient. Mais depuis dix-mille ans qu’il y
177
imisme actif »76, prenant ma devise au Taciturne.
Si
l’on me suivait, bien sûr, tout irait mieux, ou éviterait au moins le
178
ées par nos soins diligents quoique inconscients.
Si
elles sont assez grandes pour réveiller le monde, pas assez pour tout
179
eur fou pouvaient nous jeter d’un jour à l’autre,
si
cela leur chantait ou pour que nous chantions. Quelques semaines plus
180
actuels et prochains. Et peu m’importe de prévoir
si
la gauche ou la droite vont l’emporter — de toute façon, ce sera tout
181
a beauté du Monde sans l’œil de l’homme ? C’était
si
beau, la Terre de la Vie, bleue, verte et blanche dans le noir éterne
182
uver le paysage et les décors n’aura plus de sens
si
nous ne sommes plus là, ou ce qui revient au même, si nous sommes enc
183
ous ne sommes plus là, ou ce qui revient au même,
si
nous sommes encore là mais aliénés, devenus incapables même de nostal
184
r il arrivera ce que nous sommes : du mal au pire
si
nous restons aussi mauvais, et quelque bien si nous devenons meilleur
185
re si nous restons aussi mauvais, et quelque bien
si
nous devenons meilleurs, obéissant mieux à notre vocation dans la cit
186
sé profond ! — mais dans nos attitudes présentes.
Si
vous voulez prévenir tel désastre probable ou précisément calculé, et
187
ans la cité, s’il ne s’est opéré d’abord en vous.
Si
vous voulez changer l’avenir, changez vous-mêmes. Et c’est pourquoi l
188
e en revanche « la liberté des enfants de Dieu ».
Si
l’on exclut de la « sphère du religieux » le drame de l’humanité mena
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pres erreurs et menaçant du même coup la Nature ;
si
l’on remplace l’amour par l’efficacité — dont la mesure est la puissa
190
e est la puissance militaire, puissance de tuer ;
si
l’on ne veut plus tirer son énergie de soi-même mais seulement de la
191
religieux » ? La casuistique ? Mais à l’inverse,
si
l’on exclut de notre drame l’irréductible spirituel, comment fonder l
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mais d’une rénovation de l’aventure d’être homme,
si
elle prend naissance dans notre cœur. Écoutons maintenant le cri su
193
e a répondu : — Le matin vient, et la nuit aussi.
Si
vous voulez interroger, interrogez ! Convertissez-vous et revenez !