1 ouer une villa à Heidelberg ou à Séville quand la situation n’est plus tenable à Londres, et l’histoire continue, pour notre agré

2 tant que la sienne ? Certes, hic et nunc, dans la situation du monde de 1932, en présence du déchaînement orgueilleux et misérabl

3 de s’y intéresser au lieu de s’intéresser à notre situation concrète, M. Nizan a tellement raison que son entreprise est suffisam

4 phes ne s’adressent jamais à tel homme dans telle situation quotidienne, répète M. Nizan. Et il propose Marx. Je demande en quoi

5 t les pensées concernent chaque homme dans chaque situation de sa vie de chaque jour, si cet appel n’a pas trouvé la seule répons

6 publique sont menacées ? La vérité, c’est que la situation du monde a été de tout temps désespérée. Seulement, maintenant, cela

7 ue nous créons à plaisir, qui ne sont pas dans la situation et qui sont autant de prétextes à refuser de prendre position, comme

8 n. « Nous avons perdu la guerre, Bell, et dans la situation où nous sommes, nous ne pouvons plus nous affirmer que par le sacrifi

9 ques. Chez l’un et l’autre, on trouve ce goût des situations extrêmes, où se dénude le fond secret d’un être, sa sauvagerie ou sa

10 e davantage à ce moment. En fait, on a examiné la situation mondiale et l’on a tenté de l’améliorer, conformément à des principes

11 té ? En ce point crucial de l’histoire — dans une situation qui rappelle étrangement la lutte présente entre démocratie individua