1 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
1 es silencieuses qui s’égrènent une à une dans les solitudes de rocs et de glace. » Sénancour éprouvait ce qu’il appela, d’un mot
2 teur des choses ». C’est qu’il a pénétré dans ces solitudes que les autres contemplaient d’en bas ; non pas en curieux : en mysti
3 eaucoup de prendre froid. La glace est proche, la solitude énorme, mais voyez avec quelle tranquillité tout repose dans la lumiè
4 urnent vers ces derniers symboles physiques de la solitude et de la grandeur, les Alpes. Nous souffrons d’une carence inquiétant
2 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
5 cisément que Goethe dès lors recherchera dans une solitude aggravée par l’agacement que lui causent les effusions piétistes trop
3 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
6 casernes ou des camps de travail, — et mourant de solitude . J’ai terminé ma description du siècle. Est-elle pessimiste à l’excès
4 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
7 œuvres, il se vit abandonné dans la plus complète solitude qu’ait jamais connue un grand esprit. Un an plus tard, épuisé par la
5 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
8 é de la foi sur les vérités qui font vivre, cette solitude première devant Dieu, est-ce bien cela que revendiquent les défenseur
9 rieux dernier, et son risque absolu, ce qu’est la solitude dont Kierkegaard a témoigné, il n’apparaît plus nécessaire de réfuter
6 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
10 e qui le relie à ses « frères » et le sauve de la solitude  ; d’autre part, il revêt une dignité humaine nouvelle, puisqu’il a ét