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l offre à ses ouvriers semblent bien apporter une
solution
définitive aux problèmes du surmenage et du paupérisme. C’est un résu
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a production devant se maintenir, il n’y a qu’une
solution
: recréer le besoin. Pour cela, on abaisse les prix. Le client fait l
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d’échapper au fatal dilemme. Premiers pas vers la
solution
: l’existence du dilemme. Second pas : en poser les termes avec nette
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dre le goût de ce qui, en Europe, « allongeait la
solution
», je ne puis m’empêcher de penser que cette peinture d’Aden est asse
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son héroïne nous paraît être à tel point la seule
solution
possible qu’elle n’est plus du tout exemplaire et ne peut servir ni l
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es — mais cela dispense-t-il de chercher d’autres
solutions
? Quant à ceux qui acceptent d’étudier à fond ces problèmes, ils ne l
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ble. Car la question sociale n’admet peut-être de
solution
que personnelle. Il ne s’agit plus de la poser, sur le plan intellect
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. Il s’ensuit que dans leur plan, il n’y a pas de
solution
possible. Ils sont inconciliables parce que, de la combinaison de deu
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unité-division, il serait vain de rechercher une
solution
intermédiaire ou « libérale », à mi-chemin des deux erreurs en lutte.
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devenir tous des saints. (Pourtant, ce serait la
solution
.) Je ne vais pas vous dire : — Aimez-vous ! (même remarque). Mais seu