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? Est-il temps encore de le détourner du désastre
spirituel
vers lequel il entraîne l’Occident ? Cris dans le désert. Déserts des
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e la machine, méconnaissance glorieuse des forces
spirituelles
, le tout agrémenté d’humour et exposé avec un simplisme qui emporte à
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que les êtres encore doués de quelque sensibilité
spirituelle
deviennent par le seul fait de rester eux-mêmes dans un monde fordisé
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stante » de P. Romane-Musculus. Des lithographies
spirituelles
de Ch. Clément et des illustrations de F.-L. Schmied pour « Ruth et B
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if, de contrainte, de stimulant dans l’atmosphère
spirituelle
qui préside à l’élaboration d’une œuvre. Pas de style religieux sans
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ujourd’hui les masses veulent conquérir des biens
spirituels
et matériels réservés autrefois à ceux-là seuls qui, par leur naissan
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d’une philosophie de la vie qui rende aux valeurs
spirituelles
leur primauté : car c’est à cette condition seulement que la vie huma
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it être pour nous qu’une « introduction » à l’ère
spirituelle
, une préparation nécessaire mais nullement suffisante. Ce n’est pas l
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nt il faut situer Kierkegaard dans notre Panthéon
spirituel
: Kierkegaard fut le dernier grand protestant. On ne peut le compare
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icisme d’un Ruskin, c’est un cantique d’adoration
spirituelle
que chante la poésie anglaise en de véritables « élévations ». Mais t
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le secret de certains renoncements, que le regard
spirituel
saurait encore en déceler l’équivalent. Peut-être le goût du sport tr
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fficulté. Les rares allusions qu’il fait à sa vie
spirituelle
n’en sont que plus émouvantes : Un dimanche, sur les collines derriè
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e de cette carence de la poésie et du rayonnement
spirituel
notre fameux moralisme, traître à ses origines, et vidé de toute théo
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— comme celle d’une Lagerlöf — se lier d’amitiés
spirituelles
avec Charles Dickens, Jenny Lind, Thorwaldsen.) Les romans russes et
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vré les confidences, et où la volonté de sobriété
spirituelle
paraît avoir produit chez le poète une sorte de sécheresse religieuse
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u de ce prêtre de l’abstentionnisme et du célibat
spirituel
. Ils ont tous épousé une cause, une de ces causes qui engagent bien p
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fficace si on la sentait inspirée par un principe
spirituel
capable de rendre une force offensive à cette personne humaine. Le ch
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ou même prêtres, ou même canonisés, une sécurité
spirituelle
que la Parole de Dieu désigne comme une lâcheté. Car en présence de l
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action trop longtemps dépourvue de tout contrôle
spirituel
. N’est-ce point l’obscur pressentiment d’un tel péril qui explique, e
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, attesta dans sa plénitude la primauté de l’acte
spirituel
: Kierkegaard. Le grand mal de l’époque, et la terreur que commencent
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, de certitudes théologiques, et de cette liberté
spirituelle
que confère la connaissance vivante de « la seule chose nécessaire ».
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nisme a promis le royaume des cieux à la pauvreté
spirituelle
. Mais le premier chrétien cultivé et spirituel a donné au christianis
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spirituelle. Mais le premier chrétien cultivé et
spirituel
a donné au christianisme sa rhétorique et sa dialectique ; de la sort
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empêché le christianisme de mourir de sa pauvreté
spirituelle
. On est toujours étonné de voir un esprit de la trempe de celui de N
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cistes ne se réclament-ils pas, eux aussi, d’un «
spirituel
» préalablement « mis au pas » ? Et ne retrouvons-nous pas cette même
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grande discussion millénaire, à la grande tension
spirituelle
dans laquelle l’Europe a puisé son dynamisme créateur. Tension dont l
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ue d’une « conscience moderne », douée d’exigence
spirituelle
, avec un partisan du « serf arbitre » luthérien. (On peut admettre qu
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Et de même que l’œcuménisme retrouve la position
spirituelle
centrale qui fonde l’union dans la diversité, nous avons à chercher l
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logique où nous nous plaçons ici ? Une communauté
spirituelle
formée de communautés locales ou « cellules ». Celles-ci ne se fonden
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tat avec celles de toutes les activités sociales,
spirituelles
ou privées — ce qui est la définition même de l’oppression. Le fédéra
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t les aspects divers d’une seule et même attitude
spirituelle
. Ils s’engendrent l’un l’autre et s’appuient mutuellement. Ils ont le
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priver l’organisation politique de ses fondements
spirituels
. Mais accepter l’œcuménisme sans vouloir également le fédéralisme, ce
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èrent à la fois le pouvoir temporel et l’autorité
spirituelle
, et devinrent donc totalitaires. Dans les pays calvinistes, au contra
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t compte des données empiriques et des diversités
spirituelles
sur la connaissance desquelles se fonde nécessairement tout effort fé
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n langage commun, un ensemble de communes mesures
spirituelles
. Ce langage au-dessus des langages répond exactement aux besoins les
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ces tentatives dispersées, c’est un arrière-plan
spirituel
commun (œcuménisme), et une vision précise des liens nécessaires unis
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rse, si l’on exclut de notre drame l’irréductible
spirituel
, comment fonder l’objection de la personne, au nom de quoi refuser le