1 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
1 ? Est-il temps encore de le détourner du désastre spirituel vers lequel il entraîne l’Occident ? Cris dans le désert. Déserts des
2 e la machine, méconnaissance glorieuse des forces spirituelles , le tout agrémenté d’humour et exposé avec un simplisme qui emporte à
3 que les êtres encore doués de quelque sensibilité spirituelle deviennent par le seul fait de rester eux-mêmes dans un monde fordisé
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
4 stante » de P. Romane-Musculus. Des lithographies spirituelles de Ch. Clément et des illustrations de F.-L. Schmied pour « Ruth et B
5 if, de contrainte, de stimulant dans l’atmosphère spirituelle qui préside à l’élaboration d’une œuvre. Pas de style religieux sans
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Conférences du comte Keyserling (avril 1931)
6 ujourd’hui les masses veulent conquérir des biens spirituels et matériels réservés autrefois à ceux-là seuls qui, par leur naissan
7 d’une philosophie de la vie qui rende aux valeurs spirituelles leur primauté : car c’est à cette condition seulement que la vie huma
8 it être pour nous qu’une « introduction » à l’ère spirituelle , une préparation nécessaire mais nullement suffisante. Ce n’est pas l
4 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
9 nt il faut situer Kierkegaard dans notre Panthéon spirituel  : Kierkegaard fut le dernier grand protestant. On ne peut le compare
5 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
10 icisme d’un Ruskin, c’est un cantique d’adoration spirituelle que chante la poésie anglaise en de véritables « élévations ». Mais t
11 le secret de certains renoncements, que le regard spirituel saurait encore en déceler l’équivalent. Peut-être le goût du sport tr
6 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
12 fficulté. Les rares allusions qu’il fait à sa vie spirituelle n’en sont que plus émouvantes : Un dimanche, sur les collines derriè
7 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
13 e de cette carence de la poésie et du rayonnement spirituel notre fameux moralisme, traître à ses origines, et vidé de toute théo
14 — comme celle d’une Lagerlöf — se lier d’amitiés spirituelles avec Charles Dickens, Jenny Lind, Thorwaldsen.) Les romans russes et
8 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
15 vré les confidences, et où la volonté de sobriété spirituelle paraît avoir produit chez le poète une sorte de sécheresse religieuse
9 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
16 u de ce prêtre de l’abstentionnisme et du célibat spirituel . Ils ont tous épousé une cause, une de ces causes qui engagent bien p
17 fficace si on la sentait inspirée par un principe spirituel capable de rendre une force offensive à cette personne humaine. Le ch
18 ou même prêtres, ou même canonisés, une sécurité spirituelle que la Parole de Dieu désigne comme une lâcheté. Car en présence de l
10 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
19 action trop longtemps dépourvue de tout contrôle spirituel . N’est-ce point l’obscur pressentiment d’un tel péril qui explique, e
11 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
20 , attesta dans sa plénitude la primauté de l’acte spirituel  : Kierkegaard. Le grand mal de l’époque, et la terreur que commencent
12 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
21 , de certitudes théologiques, et de cette liberté spirituelle que confère la connaissance vivante de « la seule chose nécessaire ».
22 nisme a promis le royaume des cieux à la pauvreté spirituelle . Mais le premier chrétien cultivé et spirituel a donné au christianis
23 spirituelle. Mais le premier chrétien cultivé et spirituel a donné au christianisme sa rhétorique et sa dialectique ; de la sort
24 empêché le christianisme de mourir de sa pauvreté spirituelle . On est toujours étonné de voir un esprit de la trempe de celui de N
25 cistes ne se réclament-ils pas, eux aussi, d’un «  spirituel  » préalablement « mis au pas » ? Et ne retrouvons-nous pas cette même
13 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
26 grande discussion millénaire, à la grande tension spirituelle dans laquelle l’Europe a puisé son dynamisme créateur. Tension dont l
27 ue d’une « conscience moderne », douée d’exigence spirituelle , avec un partisan du « serf arbitre » luthérien. (On peut admettre qu
14 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
28 Et de même que l’œcuménisme retrouve la position spirituelle centrale qui fonde l’union dans la diversité, nous avons à chercher l
29 logique où nous nous plaçons ici ? Une communauté spirituelle formée de communautés locales ou « cellules ». Celles-ci ne se fonden
30 tat avec celles de toutes les activités sociales, spirituelles ou privées — ce qui est la définition même de l’oppression. Le fédéra
31 t les aspects divers d’une seule et même attitude spirituelle . Ils s’engendrent l’un l’autre et s’appuient mutuellement. Ils ont le
32 priver l’organisation politique de ses fondements spirituels . Mais accepter l’œcuménisme sans vouloir également le fédéralisme, ce
33 èrent à la fois le pouvoir temporel et l’autorité spirituelle , et devinrent donc totalitaires. Dans les pays calvinistes, au contra
34 t compte des données empiriques et des diversités spirituelles sur la connaissance desquelles se fonde nécessairement tout effort fé
35 n langage commun, un ensemble de communes mesures spirituelles . Ce langage au-dessus des langages répond exactement aux besoins les
36 ces tentatives dispersées, c’est un arrière-plan spirituel commun (œcuménisme), et une vision précise des liens nécessaires unis
15 1977, Foi et Vie, articles (1928–1977). Pédagogie des catastrophes (avril 1977)
37 rse, si l’on exclut de notre drame l’irréductible spirituel , comment fonder l’objection de la personne, au nom de quoi refuser le