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, le définir idéalement ? Il nous semble que cela
supposerait
d’abord une définition nette de notre foi : il faut qu’on sache sans
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de notre temps, que l’action devenue trop rapide
suppose
une cécité partielle chez ceux qui s’y livrent, une incapacité organi
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atiques ? Certaines phrases pourraient le laisser
supposer
qu’il écrivit en préface au livre récent d’un jeune aviateur, Antoine
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els la crise est dans les institutions. Il paraît
supposer
une rénovation intérieure, celle précisément que postule le christian
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est en droit de se demander si leur rencontre, à
supposer
qu’elle se produise, ne signifierait pas une révolution. Les évaluati
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indiquer l’un des symptômes les plus extérieurs ?
Supposez
, maintenant, que la collusion se produise. (L’hypothèse n’est pas abs
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e nous voyons depuis la guerre. On pourrait aussi
supposer
que la leçon des catastrophes dictatoriales va réveiller quelques chr
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’a laissé perdre ? Et que va-t-on lui sacrifier ?
Supposez
qu’un homme paraisse, et qu’il relève le défi collectiviste. Il souti
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pas à sa place là où la vocation de Dieu l’a mis.
Supposez
qu’un tel homme existe. Que va-t-on faire de lui, de ce héros, n’est-
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ons pour ceux qui souffrent à cause du Christ. Il
suppose
, sans autre, que le chrétien souffre pour sa doctrine… » Et c’est la
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ommun l’athéisme du monde. « Le Nouveau Testament
suppose
sans autre que le chrétien souffre pour sa doctrine… » (Mais non ! il
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les, jamais sérieusement éprouvées ? La foi vraie
suppose
la ruine de toutes les pauvres constructions où nous pensions pouvoir
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la plus dure ironie — quoique involontaire, je le
suppose
—, dont il pouvait, en l’occurrence, l’accabler. On ne saurait soulig
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fait même qu’il existe un effort œcuménique. Nous
supposons
cette doctrine, dès lors que nous prononçons : « Je crois la sainte É