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ar les civilisations spiritualistes comme le bien
suprême
dont seuls quelques élus peuvent se rendre dignes (les brahmanes par
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son amour. Mais elle ne peut survivre à cet acte
suprême
, à cette grâce. Aussi notre bonheur humain n’est-il en aucune mesure
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e, mais non du bon côté ; l’âme, que tourmente un
suprême
besoin d’épanchement, s’est déversée, mais elle a mal choisi son conf
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par le droit divin de la Parole qui le distingue.
Suprême
humilité du solitaire ! Il ne saurait se comparer qu’à la vocation qu
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ilité, qu’il croit trouver et regagner la dignité
suprême
de l’homme sans Dieu. Être libre, c’est vouloir l’éternité de son des