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nous menacent et nous empêchent de voir encore le
surhumain
. Être véritablement homme, c’est avoir accès au divin. Que sert de pa
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t interroger sur les hauteurs, mais une sombre et
surhumaine
fatalité (Byron), ou « la secrète force des choses » (Shelley), ou en
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nuit, non déshumanisé certes, s’élève à une vertu
surhumaine
. Je crois que ce qui me plaît surtout dans ce récit frémissant, c’est