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e, il est assez aisé de prévoir et de décrire une
tentation
qui le guette et à laquelle tout humanisme paraît enclin : celle de c
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r dans un petit ouvrage aigu et dense intitulé La
Tentation
de l’Occident. La Voix royale 9, est, croyons-nous, le récit des évé
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sommes à chaque page incités à juger, induits en
tentation
, induits en discussion. Je sais bien que tout changement de confessio
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omme terriblement vivant, tenté, et décrivant ses
tentations
comme toutes naturelles, il surmonte les obstacles avec un contenteme
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os Lettres, n’était-ce point, d’abord, céder à la
tentation
d’un nationalisme religieux plus injustifiable que l’autre ? Je sais
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isse la considérer, sans autre, comme donnée ? La
tentation
est forte, de passer d’une critique des collectivités mensongères de
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e pour le mouvement œcuménique que l’utopie et la
tentation
d’une unité formelle, humainement vérifiable, assurée et définitive.
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ser une orthodoxie qui céderait consciemment à la
tentation
unitaire, c’est-à-dire qui tendrait à se fermer sur elle-même et à n’
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es évangiles, la puissance est la plus grande des
tentations
que le diable dresse au désert devant Jésus. Toute la Bible exalte en