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d’autant plus intéressant qu’il émane d’un grand
théologien
. Il s’agit maintenant de nous révéler ce « héros de la foi », ce maît
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nt rien, ici, ne peut donner l’idée ; et même les
théologiens
. Le Römerbrief, de Barth, en est au 20e mille. Un Keyserling, un Heid
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ction dans les termes. C’est à Érasme en tant que
théologien
que Luther s’applique à répondre, et c’est même la plus dure ironie —
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uligner trop fortement ce trait : c’est encore en
théologien
, en docteur de l’Église fidèle, en prédicateur responsable, non plus
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vie ou de mort. Or, il est seul en cause pour le
théologien
. Et tout est clair lorsque l’on a compris que Luther ne nie pas du to
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ision de leur langage. Il convient de laisser aux
théologiens
le soin de définir la doctrine positive de l’union au nom de laquelle