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philosophes est de fonder leurs analyses sur des
totalités
, sur des unités d’expérience sensible, saisies telles qu’elles se pré
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pte du sens et de l’intention de l’ensemble. La «
totalité
d’expérience et d’actions vécues » que Scheler étudie dans ce petit l
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r là que ces ouvrages n’exprimaient pas encore la
totalité
de son message chrétien, et qu’il ne pouvait pas en assumer l’entière
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elui qu’on vient de nous donner, nous restitue la
totalité
des thèmes de l’œuvre, sous une forme souvent beaucoup plus directe q
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qui, sur le plan théologique, ou mieux : dans la
totalité
de l’être, revient à celle d’un christianisme qui se met au service d