1 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
1 ensible même à sa déchéance, abandonné à la lutte tragique et absurde des lois économiques et des exigences les plus rudimentair
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
2 e de roman d’aventures significatives, et dont le tragique est décuplé par la valeur qu’il prend dans l’esprit des héros. Un jeu
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
3 raire de M. Léon Brunschvicg, il avait le sens du tragique de la vie. De pareilles « conversations » ne ressortent nullement de
4 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
4 un peu grave, on touchait avec notre jeunesse le tragique ou le merveilleux, on mettait notre volonté aimante, entre toutes les
5 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
5 ute de faire sentir et « réaliser » au lecteur le tragique de la durée d’une vie. M. Baring nous fait suivre de sa naissance à s
6 amour. C’était là choisir un sujet inévitablement tragique . Car si l’histoire de l’ascension d’un caractère, d’une volonté, d’un
7 re d’une vie sentimentale. La durée est l’élément tragique par excellence du sentiment, parce qu’elle le transforme sans cesse,
8 ements contradictoires qu’elles provoquent. Et le tragique qui se dégage lentement de cette longue confusion de plaisirs mondain
9 oïsmes déçus, d’égoïsmes comblés, ce n’est pas le tragique d’une condamnation, mais celui, combien plus amer et noble, du consen
6 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
10 os de la foi », ce maître de la pensée chrétienne tragique , paradoxale et virulente. Qu’une telle œuvre commence son action en F
7 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
11 irrévocables dans un tel univers. Suppression du tragique . Car le tragique naît dans une âme qui s’efforce vers l’unité, vers l
12 s un tel univers. Suppression du tragique. Car le tragique naît dans une âme qui s’efforce vers l’unité, vers l’unification de s
13 tés acceptées devant Dieu, avec l’incommensurable tragique que cela comporte. Un nom me hante, pendant que j’écris ces mots : Ki
8 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
14 omme le furent les plus grandes, par le sentiment tragique du péché et de la grâce souveraine. C’est cela qui donne aux romans d
15 igne fatal du moralisme. La grande poésie naît du tragique et de la joie surabondante : verrons-nous quelque jour en France surg
16 as les conjonctures sanglantes d’où naquirent les Tragiques d’un d’Aubigné. Aussi bien avons-nous d’autres raisons d’espérer. Car
9 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
17 s que tout, fait défaut à ce génie, c’est le sens tragique du péché. Car c’est bien dans le sens du péché que gît l’irréductible
18 du péché que gît l’irréductible, c’est-à-dire le tragique essentiel de notre condition. C’est bien là que réside l’élément tran
10 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
19 oie d’envisager la mort comme une transfiguration tragique , la force et la joie d’envisager la vie comme un combat perpétuel don
11 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
20 ce sera désormais de porter en eux-mêmes l’image tragique de leur patrie, l’idée profonde de leur nation, que Pillau définit co
21 la méditation de Pillau, d’une manière non moins tragique . « Il découvrit, pour la première fois, une forme nouvelle de patriot
22 omontades hitlériennes64. Nous sommes ici au nœud tragique de ce problème allemand qui domine l’après-guerre, et dont le dénouem
23 malheur des hommes ? Et n’est-ce point là le vrai tragique de l’Allemagne actuelle, que son destin la force à n’envisager plus l
12 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
24  ; son humanisme mesuré l’empêche de voir le vrai tragique du débat. Mais le plus grand des adversaires du christianisme dans le