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eurs peintres ressemblent à ces peintres sous les
traits
du modèle. Cet air de famille qu’ont tous les personnages peints par
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ons et des discours d’un Garine, d’un Perken, les
traits
d’une individualité morale qui n’est sans doute que l’idée la plus fo
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isation athée qu’apportaient les Européens. Autre
trait
plus édifiant encore : l’auteur rentrant à Marseille voit de loin le
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rne à l’égard de toute autorité divine qui est le
trait
dominant de notre époque » — pour reprendre la définition qu’en donna
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leur origine ou à leur foi réformée, — et si ces
traits
ne constituent pas, en définitive, les éléments d’un art protestant.
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u beau et le goût intransigeant du vrai, c’est le
trait
le plus évidemment « protestant » de l’art français. Mais s’il est
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du colossal — transmis aux Américains — reste un
trait
marquant de l’âme allemande : le choix de la salle, les sujets abordé
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ette tournure d’esprit au cours de ses romans. Le
trait
satirique, ailleurs presque imperceptible, est nettement appuyé dès q
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demande de définir la doctrine ?). Voici quelques
traits
amusants ou cruels qui les caractérisent. « Naturellement, vous allez
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de la sagesse qu’il montre ailleurs, grossir les
traits
, découvrir la thèse. Il eût pu s’en dispenser d’ailleurs, car en défi
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n merveilleux réactif, au contact duquel certains
traits
de caractères nationaux s’accusent d’une manière imprévue et signific
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e tenté de dire, forçant un peu ma thèse, que ces
traits
négatifs, alliés à d’évidentes préoccupations morales, composent préc
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donne lieu à des formes d’art qui manifestent ses
traits
spécifiques. On peut donc poser que le protestantisme de la fin du xi
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crifice à une cause. Je n’insisterais pas, si ces
traits
ne me paraissaient communs à beaucoup de jeunes intellectuels marxist
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lle nous apparaît de ce point de vue, en quelques
traits
fort simples. J’insiste sur le mot simple, qui me paraît caractériser
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ique et une philosophie du désespoir, — autant de
traits
qui nous assurent que les problèmes débattus dans ce livre sont de ce
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ravers la confusion des doctrines, reparaître les
traits
ironiques du grand visage de Kierkegaard, il me vient à l’esprit une
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cabler. On ne saurait souligner trop fortement ce
trait
: c’est encore en théologien, en docteur de l’Église fidèle, en prédi
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t nous nous bornerons ici à en souligner quelques
traits
qui importent à notre entreprise. Le principal est celui-ci : la théo
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fection de l’union, mais sa vie même. Un deuxième
trait
, complémentaire d’ailleurs, doit être au moins rappelé ici : la théol