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Considérons-la sous cet angle. Il y a d’abord la
vision
de l’auto routière : naissance de sa passion froide et tenace. Il s’e
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ncapacité organique à situer leur effort dans une
vision
du monde globale et cohérente, à le juger religieusement par exemple.
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cier pourrait nous apporter l’équivalent de cette
vision
directe, exaltante et dépaysante ? Voici le monde en vrac, un monde p
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s les murs du fort de Capocabana, il a soudain la
vision
d’une Allemagne future renaissant de son calvaire, purifiée et galvan
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parler de la foi. La foi, qui donne à l’homme la
vision
réaliste du péché, crée la crise bien davantage qu’elle n’en résulte.
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e de la guerre. Qu’il soit encore très loin d’une
vision
dynamique de l’action immédiate, c’est ce que prouvent ces mêmes décl
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qui ont fait l’histoire sont ceux qui avaient une
vision
passionnée de leur but et qui ont su plier les circonstances à leur d
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pratique les principes qui sont impliqués dans la
vision
de l’œcuménisme. Rien que cela, mais tout cela, avec confiance, mais
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pour qu’une révolution se déclenche, il faut une
vision
, une doctrine et une tactique nouvelles. Mais où sont-elles ? Qui les
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rrière-plan spirituel commun (œcuménisme), et une
vision
précise des liens nécessaires unissant cet arrière-plan aux réalités
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justement, ne puisse changer à bref délai ; et la
vision
d’un avenir vivant, qui peut faire se lever d’autres forces. Rien de