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dit Ferrero. Le bon peuple s’extasie. Il ne peut
voir
la duperie : ce jeu du chat et de la souris ; si Ford relâche les ouv
2
machines Ford simplement comme des machines. J’y
vois
la réalisation concrète d’une théorie qui tend à faire de ce monde un
3
he, pourtant plus que probable, par crainte de se
voir
obligé à la révision des valeurs, la plus difficile et la plus grave
4
vent encore quelque chose de la vie profonde, qui
voient
encore des vérités invisibles, qui gardent, par quelle grâce ? un peu
5
les philosophes demeurent tout intimidés. Et nous
vîmes
le matérialisme mener son morne triomphe. Certes, la plupart de nos p
6
isme sera de nous dégager des fatalités dont nous
voyons
l’empire s’étendre dans tous les domaines de notre existence, inclina
7
fatalité qui est le signe du monde matériel. Je
vois
l’humanisme nouveau sous l’aspect d’une culture des facultés mystique
8
pas de l’existence la poésie, ce sens du Réel. Je
vois
se composer en cette méthode — peut-être séculairement — ce que la «
9
doute… Mais tout commence par des rêves. Et je ne
vois
rien d’autre. Quoi qu’il en soit d’ailleurs du contenu d’un nouvel hu
10
nhumains : ils nous menacent et nous empêchent de
voir
encore le surhumain. Être véritablement homme, c’est avoir accès au d
11
me qu’elle combat avec raison ? D’ailleurs, si je
vois
bien que le propos de M. Nizan n’est pas de nous rendre le goût de ce
12
scriptible et sec ». Mais est-il bien légitime de
voir
dans un tel « résidu » l’essence de l’Europe, — « son état de pureté
13
s édifiant encore : l’auteur rentrant à Marseille
voit
de loin le château d’If et N.-D. de la Garde : « J’étais servi — s’éc
14
istorique de l’autre. La preuve, je m’amuse à la
voir
dans le fait que le pamphlet de M. Nizan, communiste, est encore plus
15
ormés nous mettaient naguère en garde. Keyserling
voit
la cause du développement exagéré de la technique dans le fait qu’auj
16
nécessairement douloureuses. Certains, peut-être,
verront
-là une condamnation des passions humaines, et comme la morale du roma
17
loi divine et humaine, et c’est ici que l’on peut
voir
sa profonde ressemblance avec les Affinités électives de Goethe. Aucu
18
ane « de naissance », a donc épousé un Italien et
vit
dans un milieu catholique qui n’exerce, dit-elle, aucune pression sur
19
qu’à l’unité. Il est d’autant plus regrettable de
voir
Baring se départir ici de la sagesse qu’il montre ailleurs, grossir l
20
id. La glace est proche, la solitude énorme, mais
voyez
avec quelle tranquillité tout repose dans la lumière… » Vous avez rec
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meneurs écrive un livre pour nous dire comment il
voit
le peuple, comment il l’aime, et quel est le secret de son autorité s
22
culable de stations. Regardant par la fenêtre, il
vit
d’affreux noms de gares tels que Tenman, Tamazukuri, tout à fait dans
23
endroit célèbre pour les suicides, et qu’il avait
vu
un jour, au théâtre, à Kobé, le drame du suicide de Akaneya et Sankat
24
mps décide de l’orientation de sa vie : Il avait
vu
mourir Sanuki au logement ouvrier, et il ne pensait pas que la mort d
25
s de Chanaan. Mais ce qui me frappe ici, c’est de
voir
le reste du chapitre consacré au récit des actes qu’immédiatement Eii
26
laquelle je suis décidé à les formuler. Si l’on y
voit
une regrettable désinvolture vis-à-vis d’un des écrivains les plus ju
27
Ce qu’il faut certainement déplorer, c’est de le
voir
utiliser des dons incomparables et une sorte subtile de loyauté à des
28
cette attitude sereinement contradictoire, où il
voit
l’essence de sa « réforme » et de sa nouveauté. Luther disait : « Je
29
et aviateur m’évoque la fable : « Je suis oiseau,
voyez
mes ailes. » Qu’il n’aille pas croire pourtant que désormais la vertu
30
s à son attente. Selon lui, c’est un « André Gide
vu
de Genève » qu’il nous faudrait. M. Martinet a pris pour épigraphe la
31
récisément il y aurait lieu à une manière de Loti
vu
de Genève. Loti appartient à ce pays de Saintonge, qui, si la force d
32
ont fait penser qu’il existe bel et bien un Loti
vu
de Genève, non pas sous la forme d’un ouvrage complet, mais d’un essa
33
ent ?… Ou bien, protestants qui écrivent ? — Mais
voyons
d’abord les œuvres. La critique à peu près unanime a salué dans Le Sc
34
la famille qui se défait30. Mais gardons-nous de
voir
dans ce contraste autre chose que la vieille opposition du sacrifice
35
une véritable préméditation — où l’on n’eût voulu
voir
qu’une pudeur — lui fait éviter toute allusion chrétienne, au point q
36
Cette espèce de stoïcisme moral, dans lequel nous
voyons
se complaire beaucoup de « protestants par tradition », pourtant cach
37
ans renier le fondement de sa croyance34. Or nous
voyons
le moralisme se développer précisément à l’époque où la théologie de
38
d. (Féerie du Conte de ma vie d’Andersen, où l’on
voit
ce « poète des poètes » à la sensibilité si authentiquement évangéliq
39
sie naît du tragique et de la joie surabondante :
verrons
-nous quelque jour en France surgir une poésie chrétienne d’inspiratio
40
x. Il est sûrement à vos trousses aussi, j’espère
voir
le jour où il vous rattrapera ; mais je ne puis répondre de la manièr
41
ison devant l’insondable mystère de Dieu devient,
vu
de l’extérieur, orgueil de la raison qui juge ce monde comme si Dieu
42
nts de la terre, de percevoir. » Et certes, on ne
voit
guère en quoi pareille conception pourrait choquer certains protestan
43
nécessité d’une pensée active, mais qui n’ont pas
vu
— qui n’ont pas encore vu — tout ce que cela implique. Ils voient bie
44
ive, mais qui n’ont pas vu — qui n’ont pas encore
vu
— tout ce que cela implique. Ils voient bien le vice de la « pensée d
45
nt pas encore vu — tout ce que cela implique. Ils
voient
bien le vice de la « pensée désintéressée », et qu’il faut s’affranch
46
affranchir d’une « liberté » stérilisante. Ils ne
voient
pas à quel prix cet affranchissement devient possible ; ils ne voient
47
ix cet affranchissement devient possible ; ils ne
voient
pas encore qu’il faut choisir. Or, notre temps ne comporte qu’un choi
48
e l’homme ; de se borner à sa défense ; de ne pas
voir
que la vraie défense, c’est l’attaque. Nous avons moins besoin d’idée
49
noumènes, d’immanence, de contingence, et l’on ne
voit
pas, dit M. Nizan, « comment ces produits tératologiques de la médita
50
rs parlements et l’insolence des pouvoirs ; on ne
voit
pas à quoi mène la philosophie sans matière, la philosophie sans rime
51
s terribles déchaînées dans le monde contemporain
voit
bien que la question n’est plus de s’évader, de se distraire en oubli
52
notre conception du monde. Dans une époque qui a
vu
les frontières et les peuples de l’Europe bouleversés ; les régimes c
53
’expliquer, avec une passion nouvelle. Nous avons
vu
paraître, il y a quelque dix ans, les premières Explications de notre
54
ition et pénétrer dans la bagarre universelle. Je
vois
bien le désordre et la contradiction. L’argent règne sur notre monde,
55
ux heures de panique boursière. Les inventeurs se
voient
refuser des brevets parce que chaque machine nouvelle, au lieu de lib
56
temps désespérée. Seulement, maintenant, cela se
voit
. Depuis la chute du premier homme, depuis le déluge, le monde se déba
57
simplifier. Ce qui est difficile, ce n’est pas de
voir
le vrai, c’est d’oser les actes qu’il faut, et que nous connaissons t
58
oderne ! Si nous y regardons de près, nous allons
voir
que le simple assemblage de ces deux mots, destin et siècle, contient
59
te ? Nos camarades marxistes ou racistes ont bien
vu
le danger. Mais ils en tirent une conclusion inattendue. Reprenant le
60
devait désespérer de soi-même et de tout. Et nous
vîmes
, tôt après la guerre, reparaître le fameux « mal du siècle ». La jeun
61
rvir. C’est l’état le plus dégradant qui soit. On
vit
alors, chez les meilleurs de ces jeunes gens, se déclarer une épidémi
62
En vérité, ce serait une erreur insondable que de
voir
le salut de notre époque dans un retour à l’individu. L’individu est
63
igine individualiste des mythes collectifs, je la
vois
dans l’aboutissement de ces mythes. On a cru trouver en eux les princ
64
in. Ceux qui l’ont fait et qui le font encore, je
vois
bien ce qui les poussait, je vois bien ce qu’il y avait d’émouvant da
65
font encore, je vois bien ce qui les poussait, je
vois
bien ce qu’il y avait d’émouvant dans leur élan vers une nouvelle com
66
u contraire, de l’individu perdu dans l’Histoire,
vit
d’instant en instant, d’une tâche à une autre, d’un acte à un autre a
67
toujours imprévisible, toujours aventureuse. Elle
vit
dans le risque et dans la décision, au lieu que l’homme des masses vi
68
dans la décision, au lieu que l’homme des masses
vit
dans l’attente, la révolte et l’impuissance. Je pourrais encore vous
69
é supérieure se fonde votre personnalisme ? Je ne
vois
qu’une réponse à toutes ces questions, c’est la réponse de l’Évangile
70
ête romancier. On s’étonnera, sans doute, de m’en
voir
étonné. Je m’étonne davantage de ce qu’on trouve cela normal. Ce fut
71
ien. Or, c’est exactement le contraire qu’on peut
voir
. Le critique qui dispose d’un feuilleton régulier dans un hebdomadair
72
le public se mettait à l’école des penseurs ? On
verrait
éclater, je pense, l’absurdité d’une pensée inhumaine, en même temps
73
uelques révoltés ? Certes, et c’est cela que nous
voyons
depuis la guerre. On pourrait aussi supposer que la leçon des catastr
74
r les menaces qui pèsent sur la civilisation ? Ou
verra-t
-on que le service que la pensée chrétienne doit rendre n’est un servi
75
amour de l’humanité, il y a, comme Fichte l’avait
vu
, une haine des hommes ; bien plus : une révolte contre Dieu. L’homme
76
rebutant de cet essai, ne nous empêcheront pas de
voir
qu’il y a là les éléments d’une critique pénétrante de nos modes de v
77
l’Église et revint à un nietzschéisme violent. On
voit
percer par endroits, dans ce livre, une espèce de ressentiment à l’ég
78
certain idéalisme de la « vie intérieure ». Je ne
vois
pas où le recueillement décrit par M. Marcel trouverait sa place, ent
79
. Puis il se remettait à écrire. Vers midi, on le
voyait
parcourir la rue la plus animée de la ville, parler, rire et discuter
80
ques qui avaient loué ses premières œuvres, il se
vit
abandonné dans la plus complète solitude qu’ait jamais connue un gran
81
hristianisme une idée si pure et si absolue qu’il
voyait
clairement que nul homme ne peut jamais se dire chrétien. Cette posit
82
urgeois n’apportent à l’affirmer. D’un côté, nous
voyons
une foi, de l’autre, une mauvaise humeur, et certains pensent : une m
83
olitaire devant Dieu ». L’ironie Lorsque je
vois
de toutes parts, en Europe, à travers la confusion des doctrines, rep
84
ais à certains moments, il s’amuse à renaître. On
voit
d’abord son rire, rien que son rire qui plane, immatériel. Ensuite, s
85
ui se réfugie dans les soucis publics comme on va
voir
un film pour s’oublier dans un drame fictif, de cet homme affolé par
86
seule grâce de Dieu, dans l’abîme infini où tu te
vois
, ou bien tu crois aussi à ce sérieux de l’existence symbolisé par la
87
bien tu te reposes aussi sur ta vertu. Ou bien tu
vois
que la question brûlante, c’est de savoir si toi, tu es chrétien, ou
88
ut le visage de Kierkegaard se recompose. Et l’on
voit
que son rire n’est rien que la douleur du témoin de l’Esprit au milie
89
lligible providence surnaturelle.61 » Mais qui ne
voit
que cette Âme du Monde le tient aussi, et jusque dans son scepticisme
90
cette « catégorie du solitaire », de l’homme qui
vit
de la Parole seulement, entre les temps, dans l’instant éternel. L
91
utre sens du terme, « assujetti » à la Parole qui
vit
en lui. C’est dans ce sens que la formule de Kierkegaard est vraie. L
92
viendront sûrement un matériel incomparable. Car,
voyez
-vous, Bell… rien ne rend aussi dur et aussi ardent que le malheur. Ri
93
comme Edschmid, a voyagé dans des pays où il a pu
voir
les Européens mêlés à des révolutions indigènes, et comme Edschmid, i
94
le philosophe, le moraliste, le politique. Je ne
vois
pas de meilleur moyen de donner aux lecteurs de Foi et Vie une idée
95
à la foi. Il n’a pas la mâchoire solide. (Mais je
vois
bien que Nietzsche voulait dire autre chose…). Même pour l’homme le
96
une pensée qui est insupportable aux hommes. Ne
voyons
-nous pas au contraire le monde contemporain entièrement dominé par un
97
gion de la vie, de « l’intensité » de la vie ? Ne
voyons
-nous pas cette mystique de « l’intensité prise comme but », c’est-à-d
98
pauvreté spirituelle. On est toujours étonné de
voir
un esprit de la trempe de celui de Nietzsche se livrer à d’aussi gros
99
va paraître, après un peu plus de 400 ans : je le
vois
au centre du débat occidental par excellence, — mais au centre, aussi
100
ncore jusque chez les chrétiens, ces arguments se
voient
réinventés, admis, parfois même prêchés. Le laïcisme moraliste n’en a
101
i, je préférerais encore nier ce Dieu qui prétend
voir
plus loin que le terme de mes actions, — ce qui, avouons-le, les ridi
102
vie. C’est un mystère que le croyant pressent et
vit
au seul moment de la prière. « Demandez et l’on vous donnera », dit l
103
e sa promesse, une prière précise et instante, ne
vit
-il pas ce paradoxe et ce mystère : croire que « l’Éternel est vivant
104
ourir — cet acte extrême — pour nous sauver, fait
voir
que nous n’avons aucune liberté, par nous-mêmes, dans notre péché. Et
105
re jusqu’au fond de la connaissance du péché pour
voir
qu’il n’y a de liberté possible que dans la grâce que Dieu nous fait.
106
re catholique ; son humanisme mesuré l’empêche de
voir
le vrai tragique du débat. Mais le plus grand des adversaires du chri
107
. 71. Modiculum et minimum, écrit Érasme ! 72.
Voir
Karl Löwith : Nietzsches Philosophie der ewigen Wiederkunft des Gleic
108
s bibliques indiscutables. (Pour ma part, je n’en
vois
pas de meilleur que la première Épître aux Corinthiens : c’est dans s
109
ons assez dit pour qu’il soit désormais facile de
voir
qu’à l’attitude œcuménique en religion ne peut correspondre que l’org
110
foi. Note. — On s’étonnera peut-être de ne pas
voir
figurer le terme de démocratie dans ce qui précède. C’est qu’il recou
111
emande. Dans l’état d’impuissance apparente où se
voient
aujourd’hui les Églises, si cette foi seule demeure, elle sera suffis
112
et les rites anciens, jugés utilisables. Or, nous
voyons
ce processus ecclésiastique se répéter de nos jours dans ces mêmes pa
113
n de convergence, sur le plan international. On a
vu
les socialistes anglais collaborer avec les conservateurs anglais, no
114
a dans une action risquée. De même que nous avons
vu
les Églises nées des missions en terre païenne se placer à l’avant-ga
115
l’avant-garde du mouvement vers l’union, nous ne
verrons
l’œcuménisme se réaliser avec puissance que dans l’épreuve missionnai
116
ces questions, m’étant donné pour tâche de faire
voir
et sentir la nécessité des régions, en tant qu’elle me paraît lisible
117
n Amérique du Nord comme en Europe de l’Ouest, se
voient
amenés aux mêmes conclusions et le confessent… dans une conversation
118
le pouvoir de le faire peut-être un jour… Je n’en
vois
pas un seul qui ait risqué l’expérience, dont rien ne prouve qu’elle
119
ans l’ensemble passif des téléspectateurs, on n’y
voit
pas mieux les régions qu’on n’y a su voir venir les guerres mondiales
120
on n’y voit pas mieux les régions qu’on n’y a su
voir
venir les guerres mondiales, la théorie de la relativité, le stalinis
121
qu’elle n’est pas un mythe journalistique, je la
vois
partagée dans sa majorité entre deux attitudes : — opportunisme à trè
122
ifférence. Déjà, un régime scandinave vient de se
voir
renversé après trente ans de pouvoir, parce qu’il s’obstinait à confo
123
s européens ou mondialistes de l’après-guerre. Je
vois
des signes. L’évolution de la TV reproduit le phénomène dialectique d
124
bas (quartiers) que par en haut (continents). Je
vois
des sociologues et des économistes comme E. F. Schumacher, pour qui l
125
40 régions autonomes, dont il dresse la carte. Je
vois
des architectes comme Doxiadis, qui écrit : « L’expérience nous appre
126
; enfin des futurologues comme Hermann Kahn, qui
voit
nos États-nations, ayant perdu leurs raisons d’être, bientôt remplacé
127
e la guerre pour résoudre leurs différends, on ne
voit
pas ce qui pourrait justifier l’espoir fou qu’ils deviennent raisonna
128
Je ne cesserai de me sentir optimiste tant que je
verrai
que je puis faire quelque chose, quel qu’en soit d’ailleurs le succès
129
a recourir à la pédagogie des catastrophes. Je ne
vois
rien de plus probable. Je ne prédirai rien d’autre comme certain. Je
130
zarre lorsque l’on commence trop tôt. Mais je ne
vois
pas ce qu’il serait possible, aujourd’hui, de « commencer trop tôt »
131
astrophes n’apprendront rien à ceux qui n’ont pas
vu
où il faut aller, et donc n’en cherchent pas les voies et ne les inve
132
, mais incite à trouver des chemins vers V, je la
vois
déjà formulée par Héraclite au siècle d’or de Delphes, de la Pythie e
133
tout à l’heure, serait au moins prématurée. Nous
voyons
aujourd’hui certaines causes du péril où l’humain risque de s’anéanti
134
oses espérées, ferme assurance de celles qu’on ne
voit
pas ». Mais à l’aide d’appareils scientifiques, on ne peut voir que d
135
is à l’aide d’appareils scientifiques, on ne peut
voir
que du passé, des faits, c’est-à-dire du factum, du déjà fait. Toute