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aborés par la science. Mais, participant de notre
volonté
et de la grâce, ils échappent à cette fatalité qui est le signe du mo
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« conditions » de la vie sociale, au profit d’une
volonté
de puissance dont l’objet demeure assez incertain. Ce mystère qui ent
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ouddha13. — La liberté est un pouvoir réel et une
volonté
réelle de vouloir être soi. Ayant ainsi esquissé ses positions éthiq
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iques de Foi et Vie , « résume commodément cette
volonté
d’émancipation de la civilisation moderne à l’égard de toute autorité
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e le tragique ou le merveilleux, on mettait notre
volonté
aimante, entre toutes les pages, sur toutes les choses. Nous écrivion
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i l’histoire de l’ascension d’un caractère, d’une
volonté
, d’une âme virile, trouve dans sa durée même l’élément le plus convai
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importante. Il avait appris qu’il faut avoir une
volonté
de fer, lorsqu’on tombe dans la lie de la société. Le jour des funéra
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oncer ; mais le surpassement de soi qu’obtient la
volonté
tendue, c’est là ce que nous avons surtout besoin qu’on nous montre…
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stion n’est pas d’être vertueux, mais de faire la
volonté
de Dieu. Et ce que nous voulons ce ne sont pas des exemples édifiants
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e était considérée comme le lieu où s’exerçait la
volonté
, où se formait le caractère, les livres étaient conduits, ils avaient
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». Il y a visiblement chez Jean Schlumberger une
volonté
consciente de réduire l’homme à sa seule virtu. Donc : refus ou ignor
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Eckermann nous a livré les confidences, et où la
volonté
de sobriété spirituelle paraît avoir produit chez le poète une sorte
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is générales et historiques qui échappent à notre
volonté
et sur lesquelles nos révoltes sont sans prise, puisque ces révoltes
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n’en veulent point avoir. Son essai manifeste une
volonté
très nette de passer outre aux prudences intéressées de la scolastiqu
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histoire évolue selon des lois fatales, et que la
volonté
de quelques-uns n’y changera rien. Que la révolte, enfin, d’un seul c
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roire que « l’Éternel est vivant », croire que sa
volonté
— qui a tout prévu — peut aussi tout changer en un instant aux yeux d
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yeuse à la fatalité inéluctable. C’est dans cette
volonté
de reconnaître notre totale irresponsabilité, qu’il croit trouver et
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lté fondamentale que posent les rapports de notre
volonté
et de l’éternité souveraine, demeure entière. La différence, c’est qu
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n nombre de bonnes volontés, non pas l’élan d’une
volonté
précise et combative. Elles sont un respectable résultat, mais non pa
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liser la politique impliquée dès le début dans la
volonté
et l’espérance œcuménique. Le présent essai n’a d’autre ambition que
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Rappelons ici l’histoire de la tour de Babel : la
volonté
de bâtir un monument visible à la gloire de l’unité des hommes, condu
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n attitude est donc doublement antiœcuménique. Sa
volonté
d’unité s’oppose à l’union. Elle transforme la diversité en division.
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es qu’à fortifier des espérances ou à nourrir des
volontés
. 1. L’histoire du monde christianisé nous montre que les structures e
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es plus claires et convaincantes pour devenir une
volonté
. Ce qui manque à ces tentatives dispersées, c’est un arrière-plan spi
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ne veut ni prédire ni cacher, mais il indique sa
volonté
et la vraie Voie. « Sentinelle, que dis-tu de la nuit ? » Il y a quel
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nt se convertir. Tous les prophètes condamnent la
volonté
de puissance, qu’ils assimilent à l’invocation des faux dieux. Pour l