1 to pour admirer la nature entre 17 et 19 heures : vraiment , il ne lui manque plus rien — que l’envie. Mauvais travail. Il a perd

2 la sincérité de ce néo-scientisme tempéré — sinon vraiment converti — est hors de doute. Mais c’est Stilicon défendant l’Empire.

3 on de la grâce). Mais quoi ? Nous laisserons-nous vraiment « tenter » par cette erreur de Baring ? Cherchons plutôt le secret d’

4 Mais Kierkegaard reste soucieux : Mynster est-il vraiment de la lignée des Apôtres, se demande-t-il ? Les prêtres sont-ils, dan

5 , nous souffle une voix émouvante, aux résonances vraiment altières, celle-là : la voix de Nietzsche. ⁂ Ici, nous changeons de m

6 onclut que la profession de procureur devait être vraiment bien désagréable, puisqu’elle exigeait de celui qui s’y livrait de se

7 a perdra, mais celui qui veut la perdre la rendra vraiment vivante », répète inlassablement M. Gide25. Seulement, celui qui, de

8 vie, et non pas pour Christ, mais pour la rendre vraiment vivante, celui-là ne fait qu’usurper la forme du sacrifice ; et c’est

9 et la mesure de leur argumentation, par leur côté vraiment « non-prévenu », et puis, soudain, l’on s’impatiente d’être ramené sa

10 ne et Jean Schlumberger. — Écrivains protestants, vraiment  ?… Ou bien, protestants qui écrivent ? — Mais voyons d’abord les œuvr

11 protestante ou catholique, que d’une inspiration vraiment chrétienne. Car c’est à juste titre, croyons-nous, qu’on put écrire d

12 demande à M. Nizan si son appel à une philosophie vraiment humaine, dont les pensées concernent chaque homme dans chaque situati

13 qu’on nous parle du « désarroi actuel ». Croit-on vraiment que tout cela soit si nouveau ? Croit-on vraiment que, jusqu’à ces de

14 vraiment que tout cela soit si nouveau ? Croit-on vraiment que, jusqu’à ces dernières années, la civilisation de l’Occident ait

15 les rapports normaux entre les hommes ? Croit-on vraiment que le « désarroi » soit seulement « actuel » et ne veut-on parler de

16 ’exemple d’une « présence » et d’une « fidélité » vraiment chrétienne. « Philosopher, c’est apprendre à mourir », disait le tris

17 n redoute plus qu’on ne les aime… Si l’on voulait vraiment un champion de l’esprit, on ferait bien d’aller le prendre parmi ceux

18 sont-ils des faux dieux pour nous ? Appelons-nous vraiment l’esprit ? Mais non, nous appelons le « règne de l’esprit », c’est bi

19 rticipe encore de la dégradation. « Une objection vraiment méchante s’arcboute toujours contre ce qui la suscite.58 » Et celui q

20 est le seul fondement pratique d’une collectivité vraiment vivante. Cependant, il vaut mieux se garder d’insister sur un tel rét

21 oir l’agrément officiel. 65. Le parallélisme est vraiment frappant : Malraux, comme Edschmid, a voyagé dans des pays où il a pu

22 Rien de grand, dans l’ordre humain, ne peut être vraiment dangereux pour un chrétien qui sait en qui il croit. Et pour les autr

23 nial, la violence loyale d’une certitude pesante, vraiment « grave », d’une dialectique sobre et têtue, qui va droit au point dé

24 pour agir. L. — Mais qu’est-ce qu’agir ? Est-ce vraiment toi qui agis ? Ou n’es-tu pas toi-même agi par de puissantes forces s

25 ieu te rejetant vers le néant, en sorte que Dieu, vraiment , n’existe plus pour toi ? Fermer les yeux sur une réalité, ce n’est p

26 r si ceux qui refusent le christianisme échappent vraiment à la difficulté ; ou si, au contraire, ils ne la retrouvent pas, mais

27 alement le fédéralisme, ce serait ne pas accepter vraiment l’œcuménisme, j’entends avec toutes ses conséquences. Car la foi sans