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es sommets aériens excite, lorsqu’ils frappent la
vue
, un sentiment d’extase émerveillée auquel la folie n’est pas étrangèr
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sche est pleine de repères alpestres. « Comme ces
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précises, aiguës, et qu’inspire l’escarpement, nous changent des rêve
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et capitalisme feraient bien de ne pas perdre de
vue
cet exemple. l. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] Toyohiko Kagaw
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un moralisme libéral. Nous savons ce qu’une telle
vue
a d’injuste, c’est-à-dire d’incomplet. Mais comment n’être point frap
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rétienne. Or voici que les faits confirment cette
vue
théorique : Loti, Schlumberger, Gide, le désenchanté, le stoïcien, le
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vis-à-vis de la nature humaine, qui, selon cette
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, serait bonne, ou du moins meilleure, si on la « préservait » du mal.
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le cinéma n’est qu’un des effets du changement à
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qui s’opère dans toute notre conception du monde. Dans une époque qui
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on, le fondement réel de la personne ? Est-ce une
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philosophique ? Est-ce une attitude nietzschéenne ? Est-ce un choix s
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a bien, quelque opinion qu’on ait sur le point de
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strictement « allemand » de l’auteur, qu’il est peu de problèmes plus
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aut penser d’une allégation qui paraît à première
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aussi exorbitante : je n’ai lu que de courts fragments des posthuma n
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l’Europe des régions ? — Sans aucun doute, si les
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justes nous conduisaient. Mais depuis dix-mille ans qu’il y a des hom
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régions, ni d’Europe, ni de paix, ni de futur, à
vues
humaines. J’ai voulu dire l’avenir inscrit en nous, — non certes dans