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t faisable de les fabriquer en série au prix de l’
éducation
générale ou humaniste. C’est ce que fait l’URSS. Mais ce serait tuer
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t, une politique culturelle de grande envergure :
éducation
civique, démocratisation des études, insistance sur la culture généra
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géométrique, ait la moindre chance de succès et l’
éducation
permanente qu’on nous propose, qui s’étendrait du berceau à la tombe,
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vons d’autre part lancé une Campagne européenne d’
éducation
civique qui cherche à introduire l’angle de vision européen dans la l
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le plus fort. Elle a prétendu à un monopole de l’
éducation
, contre l’Église et contre la famille. Cet état de fait nous vient to
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un existe pour que l’autre vive, et vice versa. L’
éducation
sera la résultante d’une tension dynamique entre les deux. On ne peut
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t changer l’école ? Par le biais de la Campagne d’
éducation
civique européenne que je préside depuis une dizaine d’années, nous e
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Illich, un professeur français, un ministre de l’
Éducation
nationale, un poète, Pierre Emmanuel, et même un collégien lausannois