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r (« Avouez que nous étions un peu rivales… »), s’
élève
jusqu’au sublime dans la frivolité et touche aux ravissements d’une p
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par la totalité (universitas) des maîtres et des
élèves
, et en même temps elle représente la totalité des savoirs acquis et d
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la région, réalité tangible, cadre de la vie des
élèves
; il y a l’Europe — l’ancienne christianitas — réalité culturelle et
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la région à l’Europe et au monde au moment où les
élèves
sont capables de saisir les réalités à ces niveaux-là, et négliger ch
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ont pas été préparés. En étudiant l’économie, les
élèves
verraient bien que rien n’y justifie les frontières. Idem pour l’écol
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l’enseignement au maximum, de manière que chaque
élève
puisse travailler à son rythme propre, d’autre part on cherche à inst
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cial. Dans le premier cas, comme vous le dites, l’
élève
pourra « trotter à son pas, galoper s’il le peut à travers les progra
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ur le cou ». Dans le second, il faudra bien que l’
élève
le plus rapide attende que le plus lent de son groupe le rejoigne. Co
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ch appelle en termes marxistes « aliénation » des
élèves
, je préfère l’appeler « alignement ». On aligne les esprits à l’école
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bien une complémentarité. Je ne crois pas que des
élèves
doués puissent avoir à souffrir de travailler avec des camarades plus
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insister sur le travail en groupe, à laisser les
élèves
rapides et les élèves lents ensemble le plus longtemps possible, tand
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il en groupe, à laisser les élèves rapides et les
élèves
lents ensemble le plus longtemps possible, tandis qu’à droite on donn