1 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Erreurs sur l’Allemagne (1er mai 1940)
1 seulement, mais qu’il a triomphé d’abord dans une Russie tout orthodoxe, et dans une Italie toute catholique. Ce qui n’est pas
2 alitarisme italien, l’orthodoxie au totalitarisme russe , fort bien. Mais qu’on ne dise pas : Luther mène à Hitler. C’est une
3 ment, enfin et surtout les exemples du communisme russe et du fascisme italien. Peut-être aussi la mollesse de la politique f
2 1949, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe est encore un espoir (8 décembre 1949)
4 tard, dites-vous. « L’Europe n’existe plus ». Les Russes et les Américains vont lui régler son compte, si ce n’est pas déjà fa
5 ’est deux fois plus que l’Amérique, autant que la Russie et tous ses satellites. Sur ces 300 millions, dix pour cent de commun
6 n de l’Europe. Ce n’est pas la même union que les Russes nous imposeraient ! L’Amérique veut l’Europe unie, parce qu’elle a be
7 Amérique, en retour ; nous n’avons pas besoin des Russes . Les Américains seront forcés de nous forcer à l’union ou de nous aba
3 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Universités américaines (12-13 janvier 1963)
8 humain. Je leur rappelle aussi que le communisme russe est une création de l’Europe. (Marx, juif rhénan dont le père s’était
9 nd de nous, pour nous rejoindre en fin de compte, Russes compris. J’ai terminé, les questions pleuvent : j’en reçois 42 par éc
10 se mettent à aimer (pas Éros mais Agapè) tous les Russes du commun peuple ? » À la dernière question, j’ai répondu : « J’espèr
11 vous n’attendez pas ma permission pour aimer les Russes  ! » (la salle croule.) Un couvent laïque. — Près de Stanford, autre