1 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Le testament de Tristan (14-15 novembre 1970)
1 Le testament de Tristan (14-15 novembre 1970)ax ay Il a choisi le pays de son nom contre l
2 e. À l’autre extrême, le général de Gaulle fut le Tristan de la passion nationale. Son Iseut, c’est la France, et il est près d
3 e la France et lui, quand il était le plus fort — Tristan plus fort que le roi Marc —, n’a-t-il pas déposé une épée symbolique 
4 t plébiscité comme un second Charles le Grand. Ce Tristan de la nation déifiée, cet ennemi juré de l’Europe « intégrée », était
5 ns la page si belle qui règle ses obsèques, c’est Tristan qui revient dans sa pleine stature : écartant les barons et le Pays l
6 mée… ax. Rougemont Denis de, « Le testament de Tristan  », Gazette de Lausanne (supplément littéraire), Lausanne, 14–15 novem