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e. À l’autre extrême, le général de Gaulle fut le
Tristan
de la passion nationale. Son Iseut, c’est la France, et il est près d
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e la France et lui, quand il était le plus fort —
Tristan
plus fort que le roi Marc —, n’a-t-il pas déposé une épée symbolique
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t plébiscité comme un second Charles le Grand. Ce
Tristan
de la nation déifiée, cet ennemi juré de l’Europe « intégrée », était
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ns la page si belle qui règle ses obsèques, c’est
Tristan
qui revient dans sa pleine stature : écartant les barons et le Pays l
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mée… ax. Rougemont Denis de, « Le testament de
Tristan
», Gazette de Lausanne (supplément littéraire), Lausanne, 14–15 novem