1 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Fédéralisme et culture (3-4 mars 1962)
1 taient alors plus petites que nos villes romandes actuelles . Elles sont tout de même devenues des foyers rayonnants de créations
2 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Universités américaines (12-13 janvier 1963)
2 rit. Rien n’est plus caractéristique de l’opinion actuelle des jeunes Américains. J’en recopie quelques exemples : « Le plus gra
3 n faire cela, compte tenu des tensions politiques actuelles  ? » « Comment la nécessité de l’action individuelle peut-elle être pr
3 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
4 e Babel me paraît l’un des plus vivants, des plus actuels , et aussi des plus angoissants de ceux que nous a légués l’Antiquité
5 ent sachent que la dialectique de leurs problèmes actuels sur le temps, la matière et sa constitution, est étrangement homologu
4 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut réinventer l’Université (29 juin 1968)
6 ses des réflexions parfois anciennes5 sur le plus actuel des sujets. 1. Qu’est-ce que l’Université ? À sa naissance, aux xiie
5 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Une réflexion sur le mode de vie plutôt que sur le niveau de vie (2 juin 1970)
7 ysages, notre air, nos libertés. Mais le problème actuel se trouve posé par la soudaineté d’un afflux qui prend l’allure d’un
6 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Le testament de Tristan (14-15 novembre 1970)
8 . Je vous en remercie aussi parce que nos efforts actuels , en vue de bâtir une union des peuples européens, qui respecte le car
7 1972, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut dénationaliser l’enseignement [Entretien] (8 décembre 1972)
9 rs qui souffrent d’être paralysés dans le système actuel , et qui me disent : « Merci, vous nous vengez. » Vos critiques semble
10 isée au service de l’État-nation. Dans le système actuel , il serait pratiquement impossible de déscolariser la société, comme
11 nomie et l’écologie ? On ne comprend pas le monde actuel sans l’économie. Sur dix votations proposées au peuple suisse, huit a
12 mettre à des talents paralysés par les structures actuelles de s’exprimer. On ne peut pas forcer les gens à être bons ou intellig