1 et en pratique les droits de l’union et ceux des autonomies locales, les droits de l’organisation et ceux de la création. La moit

2 institution qui aurait pour effet de déprimer les autonomies locales et d’uniformiser nos coutumes régionales serait antieuropéen.

3 degré d’union nécessaire tout en sauvegardant les autonomies et diversités qui ont fait notre culture et sa vitalité. ⁂ Le problèm

4 réer un pouvoir fédéral pour la sauvegarde de nos autonomies . Car ces autonomies seront perdues une à une, si nous refusons l’unio

5 ral pour la sauvegarde de nos autonomies. Car ces autonomies seront perdues une à une, si nous refusons l’union qui ferait leur fo

6 ntre toute évidence, l’État-nation n’admet aucune autonomie , aucune diversité réelle. À l’extérieur, il refuse toute union, allég

7 des personnes, de participation des citoyens et d’ autonomie des communautés (la production industrielle n’étant qu’un des moyens

8 ale, tout ce qui est nécessaire pour garantir les autonomies de tous ordres, régionales, communales et personnelles, mais rien de

9 baillages libérés, solidaires dans leur volonté d’ autonomie  ; et à cette fin, décidant la mise en commun des tâches publiques tro

10 ontraire. Ça consiste à laisser à chacun autant d’ autonomie que possible, c’est-à-dire le droit de différer. Ceci pour le premier

11 cas européen, des régions — qui aient chacun leur autonomie , leurs caractéristiques propres, différentes ou opposées, dont résult

12 e l’énergie en général, et de ses rapports avec l’ autonomie en particulier. Mais j’ai changé, qu’on se rassure, et même à 180°, c