1
s chefs nazis, « il se ferait tuer pour Hitler »,
car
l’ambition réelle du Führer, croyait-il, était d’appliquer le program
2
raste avec ces grands diables d’Américains ? Non,
car
en Suisse je n’ai rien éprouvé de semblable. À Paris c’était véritabl
3
quant à moi, qu’il ne soit beaucoup trop timide !
Car
les Américains redoutent énormément d’avoir l’air impérialiste. Et ce
4
lance des mots tombe dans le calembour juridique.
Car
il est vrai que les deux cas s’énoncent et se prononcent de même, mai
5
t avec M. Romains une grave erreur de traduction.
Car
l’Évangile dans le texte original dit simplement : Paix sur la terre,
6
« La décision n’appartient-elle pas aux Soviets ?
Car
s’ils décident la guerre, a) ils sont victorieux et ils établissent l
7
ider à vivre, mais non pas à comprendre leur vie.
Car
tous, tant que nous sommes, sans le savoir, menons nos vies de civili
8
et nous les posent avec une insistance gênante —
car
nous voici de moins en moins armés pour y répondre. Le problème qu’on
9
us forme de discours. Ce détail a son importance.
Car
ce qui importe au bout du compte, dans une entreprise de ce genre, c’
10
èse s’opère dans le vide, ou au ciel des Idées, —
car
là sans doute toutes les synthèses imaginables existent déjà en puiss
11
e s’opère donc dans un esprit, dans une personne,
car
là seulement elle peut trouver ses significations humaines, ses mesur
12
, leurs articulations déliées mais fort précises,
car
elles nous disent très bien de quoi parle ce livre4 mais aussi commen
13
érieux, mais impérieux dans le vide, semble-t-il,
car
il fixe on ne sait quel objet imaginaire bien au-delà de nos personne
14
oins de la société et notamment de son industrie.
Car
une société, de même qu’une science ou une technique, dont les princi
15
, il faut réinventer une Université digne du nom.
Car
sans elle, les écoles professionnelles, l’économie, et la société tou
16
monde nouveau que la révolte obscurément postule,
car
si elle le concevait elle le susciterait au lieu de simplement « cont
17
dans les termes mêmes du problème ainsi formulé :
car
l’unité différenciée se traduit tout naturellement par l’union dans l
18
oir fédéral pour la sauvegarde de nos autonomies.
Car
ces autonomies seront perdues une à une, si nous refusons l’union qui
19
us faut le décider, en toute conscience, et vite,
car
le choix de la fin implique évidemment celui des moyens adéquats ; ma
20
re temps. Précisons : des vingt ans qui viennent.
Car
à ce prix seulement nous ferons l’Europe, et nous la ferons pour tout
21
urs étrangers, cet argument se détruit lui-même :
car
dans une Europe intégrée, il n’y a plus « d’économie suisse », il y a
22
votez contre, dans les deux cas vous aurez tort,
car
l’enjeu véritable est au-delà et ne peut être atteint par ce choix. L
23
d’un État ou de la signature d’une Constitution,
car
ces deux choses ne datent chez nous que de 1848. Ce que nous célébron
24
votre texte a vieilli. Je le regrette infiniment,
car
j’ai beaucoup de respect pour les maîtres, et ils ont toute mon amiti
25
e de votre « alternative »… qui n’en est pas une.
Car
le second terme est également nécessaire. Je ne vois pas d’opposition
26
che ont tort de ne tolérer qu’un des deux termes.
Car
il faut que l’un existe pour que l’autre vive, et vice versa. L’éduca
27
t ». À quoi je préfère encore le mot « tension »,
car
on associe aujourd’hui l’idée de conflit à celle de lutte douloureuse
28
t, et beaucoup plus encore qu’on ne le croirait :
car
l’expression « exploitée de façon quasi militaire » non seulement n’e