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ronts gouverne l’Amérique, mais il faut faire son
choix
entre l’ennui qui paie et l’imprévu révélateur, quitte à corriger le
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nditionné par les autres, que nous parvenons à un
choix
: régler, réglementer minutieusement chaque détail de notre vie, de n
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spécialisés ? Ou enfin tout cela à la fois, sans
choix
bien motivé sur lequel on se soit accordé ? Il est vrai que ces quest
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isir librement son avenir. Jusqu’à nous, point de
choix
économiques ni même peut-être politiques longuement délibérés, concer
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ui est en somme du superflu. Mais dès lors que ce
choix
de notre avenir est libre, nous voici contraints de le faire, à nos r
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le décider, en toute conscience, et vite, car le
choix
de la fin implique évidemment celui des moyens adéquats ; mais à l’in
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itable est au-delà et ne peut être atteint par ce
choix
. La question qu’a soulevée M. James Schwarzenbach dépasse très largem
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atée de 1984. Je la rappelle : Selon que (notre)
choix
se portera sur le nucléaire ou sur le solaire, nous aurons soit une s