1 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). New York alpestre (14 février 1941)
1 rc de dix kilomètres carrés. C’est tout, c’est la cité de Manhattan… Mais les faubourgs, au-delà du fleuve et du bras de mer
2 raine. Bien des aspects physiques et moraux de la cité de Manhattan s’expliquent par ce sol et ce climat. Entre la Prairie p
2 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Fédéralisme et culture (3-4 mars 1962)
3 les plus désuets. Il voudrait que chacune de nos cités se suffise à elle-même dans tous les domaines : université, radio, pu
4 intransigeance nécessaire. N’oublions pas que les cités qui ont fait la Renaissance en Italie, en Flandres ou en Bourgogne, é
3 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
5 au maximum du pouvoir créateur d’un milieu donné, cité , pays ou université. Ce n’est pas du tout par hasard que dans le tabl
4 1965, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Un écrivain suisse (20-21 mars 1965)
6 super-provinces qu’on nomme nations toutes leurs cités , tous leurs pays. Pourtant je vois cette possibilité s’illustrer d’un
7 t intimement germanisme et latinité, esprit de la cité et cosmopolitisme, et qui rend plus sensibles à l’oreille intérieure
8 t puissant de la vie et son sens du service de la cité n’ont cessé de le ramener aux grands postes publics, quand un appel p
5 1967, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). J. Robert Oppenheimer (25 février 1967)
9 ondateur dans cet autre désert d’El-Amarna, d’une cité du Soleil absolu : il en avait la sensitivité, l’ossature délicate al
6 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’écrivain et l’événement (7-8 septembre 1968)
10 ime », la proximité, le prochain, c’est-à-dire la cité humaine, et ce passage était le lieu de l’engagement. Est-il encore p
11 prendre, la responsabilité de l’écrivain dans la cité  ? ⁂ Responsable est celui qui peut dire, dans une situation donnée :
7 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La cité européenne (18-19 avril 1970)
12 La cité européenne (18-19 avril 1970)aq ar Mesdames et Messieurs, Je pense
13 de la philosophie occidentale, dans l’une de ces cités d’Ionie où prit naissance la dialectique de notre histoire, Héraclite
14 tence féconde des contraires. La Grèce invente la cité et la fonde sur le paradoxe des citoyens à la fois libres et responsa
15 de, « Le discours de l’Université de Bonn I — La Cité européenne », Gazette de Lausanne (supplément littéraire), Lausanne,
8 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe et le sens de la vie (25-26 avril 1970)
16 e présent : Si nous attribuons pour finalité à la Cité européenne de demain la puissance, c’est-à-dire la puissance industri
17 Au contraire, si nous donnons pour finalité à la Cité européenne la liberté, c’est-à-dire les plus grandes possibilités d’é
18 la tâche de construire des modèles neufs pour une cité rendue à l’usage de l’homme. Il faut mettre en commun à l’échelle féd
19 doit être mis au service des citoyens et de leurs cités  ; et non l’inverse. Cessez donc, Messieurs les ministres, d’essayer d
20 monde uni. Voilà donc le modèle fédéraliste de la Cité européenne : la complexité des régions rendra justice à ses fécondes
21 des finalités politiques. Donner comme but de la Cité européenne la liberté non la puissance, un mode de vie qualitatif, no
22 ge la recréation de communautés véritables. Et la Cité européenne — Res publica europea — fondée sur les communes et les rég
9 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Une réflexion sur le mode de vie plutôt que sur le niveau de vie (2 juin 1970)
23 de traces de leur passage sur notre sol, dans nos cités et dans nos mœurs. Je n’en dirais pas autant d’une industrie dont l’e
10 1984, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Philosophie et énergie nucléaire : une mise au point (28 juin 1984)
24 talique sont celles citées par M. Desmeules. 14. Cité par André Gorz-Michel Bosquet, Écologie et Politique, Éditions du Seu