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antesque se poursuit en silence à travers tout le
continent
. Personne n’en parle. On n’a pas eu besoin de changer de régime pour
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. Et, ne serait-ce que pour mieux comprendre leur
continent
grâce à l’éloignement, il faudrait que le plus grand nombre possible
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qui est tout à notre honneur ! L’Europe reste le
continent
de la création. L’Amérique ne crée pas. Elle est plutôt complémentair
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e nature : l’Europe est le plus petit de tous les
continents
(4 % des terres du globe), et le plus pauvre en matières premières. E
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urope a dominé successivement sur tous les autres
continents
, et continue à rayonner sur toute la terre par la civilisation dont e
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our « faire l’Europe », que toutes les nations du
continent
s’intègrent dans le Marché commun, c’est-à-dire dans un plan techniqu
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géographiques et toutes provisoires de l’Ouest du
continent
. L’Europe a découvert la Terre entière, assumant une fonction d’anima
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ne politique très légitime, mais liée au passé du
continent
, aux rivalités nationales que l’union, justement, entend éliminer. En
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fait le monde, en créant les moyens de relier les
continents
et en formulant les valeurs d’où résulte le concept de genre humain.
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seurs choisis parmi les plus brillants de tout le
continent
(il y a 3000 candidatures par an) composent l’écurie de course de l’a
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uper et à s’organiser en de vastes ensembles, par
continents
, et d’abord en Europe. Les races qui s’ignoraient jadis au point qu’u
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e se répand d’une manière anarchique sur tous les
continents
de la planète, à l’heure où le tiers-monde l’interroge avec une anxié
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équilibre, de mesure que représentait notre vieux
continent
. En août 1947 on est venu me demander de parler à un congrès de fédér
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i a porté la civilisation européenne sur tous les
continents
découverts tour à tour, conquis par nos aventuriers puis libérés au n
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les communes et les régions librement fédérées du
continent
peut en offrir le modèle. Si l’on me dit maintenant que c’est une uto
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ax ay Il a choisi le pays de son nom contre le
continent
de son prénom ; et jusqu’à près de la fin de son règne, les prestiges
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ère original de chacun et le génie propre à notre
continent
, y trouvent appuis et encouragements. On ne peut mieux définir le ré
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ossible des quelque vingt-cinq États nationaux du
continent
, tous plus souverains les uns que les autres. La Suisse est une authe
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r la vraisemblance du fait… La situation de notre
continent
et de l’humanité entière serait apparemment sans espoir, si la cultur