1 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Erreurs sur l’Allemagne (1er mai 1940)
1 tembre 1939 à voir dans l’hitlérisme « un rempart contre le marxisme » ! (Certains, que je connais, n’en ont pas encore démord
2 nich, qui ménageait Hitler à titre de « rempart » contre Staline… Tout cela est plus gênant à alléguer que Luther et les vieux
2 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La route américaine (18 février 1941)
3 clame politique, ni même un expédient pour lutter contre le chômage. Elles sont le produit du rêve et de la vitalité inépuisab
3 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Souvenir de la paix française (15 mars 1941)
4 , il ne trouve personne. Mais ses outils sont là, contre le mur. Il reprend le chemin de son champ. En passant au carrefour, i
4 1947, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu (5 décembre 1947)
5 e toute démocratie, donc de la Suisse. J’écrivais contre les nazis, pour les démocraties, donc pour la Suisse. Il en résulte à
5 1949, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Les écrivains romands et Paris (10 septembre 1949)
6 ittéraire aussi. Pourquoi s’insurger, nous seuls, contre ce fait ? Imagine-t-on Chateaubriand se demandant s’il existe pour lu
6 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Les mythes sommeillent… ils vont se réveiller [Entretien] (9-10 février 1963)
7 thares et sur l’amour courtois, après avoir ligué contre vous les historiens, la Sorbonne et Jean-Paul Sartre, ont été confirm
7 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
8 és, et l’on se réclame, fût-ce pour les retourner contre l’Europe, de ses doctrines politiques et sociales, et de certaines de
9 ne, soit qu’elle l’exprime, soit qu’elle réagisse contre lui avec le thomisme, ce serait un beau sujet d’études.) Pourquoi
8 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut réinventer l’Université (29 juin 1968)
10 olastique du sic et non (le débat des pour et des contre ) mise à la mode par le maître à penser des jeunes gens de l’époque, A
9 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’écrivain et l’événement (7-8 septembre 1968)
11 ditions de l’événement. 2. Le contestateur réagit contre l’époque et l’événement par l’analyse impitoyable, la description par
12 sentiment baudelairien de son époque, la révolte contre elle de tout homme qui se veut tel, et l’annonce admirable d’un monde
10 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La cité européenne (18-19 avril 1970)
13 es, molestés, réveillés, mis en mouvement, fût-ce contre nous, pour le meilleur et pour le pire. Et de là viennent aussi nos d
11 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe et le sens de la vie (25-26 avril 1970)
14 rieur de ses frontières, qu’il déclare naturelles contre toute évidence, l’État-nation n’admet aucune autonomie, aucune divers
15 tiques, culturelles, idéologiques et religieuses, contre la prétention de l’État-nation à leur monopole absolu. Il faut distri
12 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Une réflexion sur le mode de vie plutôt que sur le niveau de vie (2 juin 1970)
16 e et l’argent du beurre I. L’argument européen contre l’initiative Schwarzenbach risque fort de recouvrir un sophisme chez
17 anger que la présence sur notre sol d’un étranger contre cinq ou six Suisses représenterait pour notre mode de vie — notre « h
18 à les réaliser, alors je dis : votez pour, votez contre , dans les deux cas vous aurez tort, car l’enjeu véritable est au-delà
19 ûtait plus qu’elle ne rapporte ? — La pire menace contre notre mode de vie suisse vient-elle de la présence d’étrangers parmi
13 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Le testament de Tristan (14-15 novembre 1970)
20 mbre 1970)ax ay Il a choisi le pays de son nom contre le continent de son prénom ; et jusqu’à près de la fin de son règne,
21 fin de son règne, les prestiges du mythe national contre les réalités du monde naissant. Plus chevalier que militaire, plus ef
14 1971, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Pourquoi j’écris (30-31 janvier 1971)
22 sur nos motivations. Les écrivains ont développé contre elle une série de réactions de mauvaise foi protectrice, ou de « rati
23 autre pour que je n’y sois plus seulement un moi contre elle, mais que [je] m’y perde et m’y donne. Quand je saurai pourquoi,
15 1972, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut dénationaliser l’enseignement [Entretien] (8 décembre 1972)
24 rt. Elle a prétendu à un monopole de l’éducation, contre l’Église et contre la famille. Cet état de fait nous vient tout droit
25 à un monopole de l’éducation, contre l’Église et contre la famille. Cet état de fait nous vient tout droit de Napoléon, qui a
26 a société, comme le réclame Illich. On dresserait contre soi, par exemple, toutes les femmes qui travaillent à l’extérieur. Ma
27 la rancune ni la virulence de Denis de Rougemont contre l’école. Preuve en soit la récente réédition des Méfaits, « aggravés 
28 motions. Le principal grief de Denis de Rougemont contre l’école reste le même : c’est un crime contre l’homme, estime-t-il, q
29 ont contre l’école reste le même : c’est un crime contre l’homme, estime-t-il, que d’aligner les esprits pour la commodité des