1
es tous atteints. Quelqu’un disait : si Paris est
détruit
, j’en perdrai le goût d’être un Européen. La Ville Lumière n’est pas
2
ût d’être un Européen. La Ville Lumière n’est pas
détruite
: elle s’est éteinte. Désert de hautes pierres sans âme, cimetière… L
3
amment exiger que cette unification économique ne
détruise
pas les bases de l’Europe, mais y puise au contraire ses meilleures é
4
e fédérale. L’intégration totale et uniformisante
détruirait
les bases mêmes de notre dynamisme. Une simple alliance d’États souve
5
ainqueurs et nos chères valeurs occidentales sont
détruites
de toute façon. » « Admettez-vous que l’État-nation est une conceptio
6
core à nommer des universités. 18. Il ne faut pas
détruire
ce qui existe — les écoles professionnelles (ou facultés) — mais élim
7
hrétiennes qui se contredisent avec passion ne se
détruisent
pas pour autant : entre leurs triomphes alternés, elles durent dans l
8
point des travailleurs étrangers, cet argument se
détruit
lui-même : car dans une Europe intégrée, il n’y a plus « d’économie s
9
une industrie dont l’essor défigure nos paysages,
détruit
nos forêts et nos champs, pollue nos lacs et déverse un flot de cimen
10
osant aimer que ce qui par d’autres est aimé, ils
détruisent
à coup sûr les amours qu’ils partagent. Ce paysage sublime est un pay
11
u paysage. Les « nécessités » de la vie tendent à
détruire
les raisons de vivre. Mais que tient-on pour nécessaire ? Les maxima