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llusion d’une puissance immobile qui vaincrait la
distance
par le charme, attirant les villes à soi et déplaçant de vastes paysa
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monde occidental où dominent encore l’espace, la
distance
et la solitude. Un VIP2 de New York me disait l’autre jour : « Toutes
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be des temps : les langues certes, mais aussi les
distances
, les races, les nations, les cultures, les savoirs différents, c’est-
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de convergence à grande échelle, d’une part. Les
distances
sont presque annulées par la vitesse des communications. Les nations
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endent à devenir impraticables, cependant que les
distances
intellectuelles non seulement entre les facultés mais entre les spéci
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au contraire : elle accroît la séparation et les
distances
entre le savoir et le croire, entre ces deux aspects de la personne t
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i ne sont pas des mémoires et se tiennent à égale
distance
de la chronique et du journal intime, s’exprime l’évolution d’une sen
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, trop pessimiste pour moraliser, et avec trop de
distance
naturelle pour avoir à jouer la hauteur, affable mais non sans malice