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re paru à Paris s’ouvrait par un chapitre sur « l’
engagement
du clerc », sa nécessité et sa vanité, voire son ridicule toujours po
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s possible. Depuis ce temps lointain, la notion d’
engagement
a fait demi-tour dans l’esprit du public : on croit bonnement qu’un a
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and il s’agit de prendre une position publique. L’
engagement
supposait à mon sens tout le contraire : responsabilité pleine et ent
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la cité humaine, et ce passage était le lieu de l’
engagement
. Est-il encore praticable ? Autrement dit : quelle peut être aujourd’