1 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe est d’abord une culture (30 juin 1962)
1 igences du siècle. Seule une fédération, selon la formule suisse, assurerait le degré d’union nécessaire tout en sauvegardant l
2 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
2 de recréer l’union dans la diversité, qui est la formule de notre grand passé, et de notre avenir, intégré, le seul possible.
3 1965, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Un écrivain suisse (20-21 mars 1965)
3 ceux, très rares, dont la personne, le style, la formule créatrice résultent et se composent, précisément, de cette pluralité
4 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Entretien avec Denis de Rougemont (6-7 avril 1968)
4 valables l’une et l’autre, telle est pour moi la formule de base du fédéralisme. Maintenir les contraires, sans les subordonne
5 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La cité européenne (18-19 avril 1970)
5 t cette phrase décisive, qu’il faut tenir pour la formule même de l’unité européenne : « Ce qui s’oppose coopère, et de la lutt
6 « vrai Dieu et vrai homme » à la fois, selon les formules conciliaires de Nicée et de Chalcédoine. ⁂ Or, ces valeurs grecques,
6 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe et le sens de la vie (25-26 avril 1970)
7 européenne de ce type, simple transposition de la formule d’État-nation à l’échelle continentale, serait capable sans nul doute
7 1971, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Au défi de l’Europe, la Suisse (31 juillet-1er août 1971)
8 éterminé son existence : l’idée fédéraliste et la formule d’union qu’illustre le pacte en latin conclu par trois « communes for
9 ment suisse Dans la mesure où j’adhère à cette formule d’union je me considère comme Suisse et je le suis, moi, Neuchâtelois
10 tant la réalité proprement suisse : une idée, une formule d’union qui fut au xiiie siècle celle de trois communes du Gothard e
11 très mal ce qui empêcherait de généraliser cette formule à toute l’Europe. Autant il devient clair aux yeux de tous que la for
12 . Autant il devient clair aux yeux de tous que la formule de l’État-nation napoléonien s’oppose radicalement à toute union de l
13 duirait qu’à la guerre, autant il apparaît que la formule suisse, c’est-à-dire le fédéralisme, est au contraire la seule possib
14 Une idée se perd-elle en se généralisant, et une formule d’union en fécondant des unions toujours plus nombreuses ? Ceux qui o
15 S’évanouir dans le succès de notre idée et d’une formule d’union qui est notre raison d’être, ne serait-ce pas le sort le plus
8 1972, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut dénationaliser l’enseignement [Entretien] (8 décembre 1972)
16 e pourrait être une fédération. Or c’est la seule formule possible. En France, les rares personnes que je n’aie pas trouvées in
17 tous doivent faire la même chose ! » Ça, c’est la formule de base de l’école napoléonienne, par quoi on a fabriqué des peuples
18 mblables et différents, séparés et unis. C’est la formule de tout fédéralisme. Tension entre deux pôles. Vous retrouvez cela à
9 1984, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Philosophie et énergie nucléaire : une mise au point (28 juin 1984)
19 as de moi et ne traduit en rien notre idéal, mais formule l’exigence « essentielle » du grand patron des centrales nucléaires e