1
igences du siècle. Seule une fédération, selon la
formule
suisse, assurerait le degré d’union nécessaire tout en sauvegardant l
2
de recréer l’union dans la diversité, qui est la
formule
de notre grand passé, et de notre avenir, intégré, le seul possible.
3
ceux, très rares, dont la personne, le style, la
formule
créatrice résultent et se composent, précisément, de cette pluralité
4
valables l’une et l’autre, telle est pour moi la
formule
de base du fédéralisme. Maintenir les contraires, sans les subordonne
5
t cette phrase décisive, qu’il faut tenir pour la
formule
même de l’unité européenne : « Ce qui s’oppose coopère, et de la lutt
6
« vrai Dieu et vrai homme » à la fois, selon les
formules
conciliaires de Nicée et de Chalcédoine. ⁂ Or, ces valeurs grecques,
7
européenne de ce type, simple transposition de la
formule
d’État-nation à l’échelle continentale, serait capable sans nul doute
8
éterminé son existence : l’idée fédéraliste et la
formule
d’union qu’illustre le pacte en latin conclu par trois « communes for
9
ment suisse Dans la mesure où j’adhère à cette
formule
d’union je me considère comme Suisse et je le suis, moi, Neuchâtelois
10
tant la réalité proprement suisse : une idée, une
formule
d’union qui fut au xiiie siècle celle de trois communes du Gothard e
11
très mal ce qui empêcherait de généraliser cette
formule
à toute l’Europe. Autant il devient clair aux yeux de tous que la for
12
. Autant il devient clair aux yeux de tous que la
formule
de l’État-nation napoléonien s’oppose radicalement à toute union de l
13
duirait qu’à la guerre, autant il apparaît que la
formule
suisse, c’est-à-dire le fédéralisme, est au contraire la seule possib
14
Une idée se perd-elle en se généralisant, et une
formule
d’union en fécondant des unions toujours plus nombreuses ? Ceux qui o
15
S’évanouir dans le succès de notre idée et d’une
formule
d’union qui est notre raison d’être, ne serait-ce pas le sort le plus
16
e pourrait être une fédération. Or c’est la seule
formule
possible. En France, les rares personnes que je n’aie pas trouvées in
17
tous doivent faire la même chose ! » Ça, c’est la
formule
de base de l’école napoléonienne, par quoi on a fabriqué des peuples
18
mblables et différents, séparés et unis. C’est la
formule
de tout fédéralisme. Tension entre deux pôles. Vous retrouvez cela à
19
as de moi et ne traduit en rien notre idéal, mais
formule
l’exigence « essentielle » du grand patron des centrales nucléaires e