1
a Gazette du 24 avril), dans le romantisme et le
goût
de la mort qui caractérisent les vieux poèmes germaniques. À quoi s’o
2
un disait : si Paris est détruit, j’en perdrai le
goût
d’être un Européen. La Ville Lumière n’est pas détruite : elle s’est
3
secondement le sens de la dépense magnifique, le
goût
de la nouveauté et du somptueux, qui caractérisent tant de princes et
4
ient, de notre monde moderne en général, mais son
goût
puissant de la vie et son sens du service de la cité n’ont cessé de l
5
grondant de foudres mauves, laisse dans l’air un
goût
de silex » ; seul dans la nuit avec soi-même ; ou devant l’épreuve pr
6
trop curieux pour être autoritaire, il n’avait de
goût
que pour nos singularités (que d’autres nommeraient vocations) et il
7
réatrice et saine doctrine, besoin de sécurité et
goût
du risque, conformité qui maintient les valeurs, originalité qui les
8
mérité ou reçu, non pas d’impardonnable faute de
goût
, de tentative déviationniste, ou de blasphème, comme ce serait le cas
9
États totalitaires, ou dans l’Inde religieuse. Le
goût
de différer, si peu que ce soit, est si cher aux Européens qu’il les
10
changera pas cela, ce ne serait plus l’Europe. Le
goût
furieux de différer, par lequel nous nous ressemblons tous, c’est not