1 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Erreurs sur l’Allemagne (1er mai 1940)
1 a Gazette du 24 avril), dans le romantisme et le goût de la mort qui caractérisent les vieux poèmes germaniques. À quoi s’o
2 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). « À cette heure où Paris… » (17 juin 1940)
2 un disait : si Paris est détruit, j’en perdrai le goût d’être un Européen. La Ville Lumière n’est pas détruite : elle s’est
3 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Fédéralisme et culture (3-4 mars 1962)
3 secondement le sens de la dépense magnifique, le goût de la nouveauté et du somptueux, qui caractérisent tant de princes et
4 1965, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Un écrivain suisse (20-21 mars 1965)
4 ient, de notre monde moderne en général, mais son goût puissant de la vie et son sens du service de la cité n’ont cessé de l
5 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Jacques Chenevière ou la précision des sentiments (22-23 octobre 1966)
5 grondant de foudres mauves, laisse dans l’air un goût de silex » ; seul dans la nuit avec soi-même ; ou devant l’épreuve pr
6 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Jean Paulhan (19-20 octobre 1968)
6 trop curieux pour être autoritaire, il n’avait de goût que pour nos singularités (que d’autres nommeraient vocations) et il
7 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La cité européenne (18-19 avril 1970)
7 réatrice et saine doctrine, besoin de sécurité et goût du risque, conformité qui maintient les valeurs, originalité qui les
8 mérité ou reçu, non pas d’impardonnable faute de goût , de tentative déviationniste, ou de blasphème, comme ce serait le cas
9 États totalitaires, ou dans l’Inde religieuse. Le goût de différer, si peu que ce soit, est si cher aux Européens qu’il les
10 changera pas cela, ce ne serait plus l’Europe. Le goût furieux de différer, par lequel nous nous ressemblons tous, c’est not