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l’Europe », que toutes les nations du continent s’
intègrent
dans le Marché commun, c’est-à-dire dans un plan technique et économi
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re convaincante qu’on éprouve l’impérieux désir d’
intégrer
l’expérience acquise dans un ensemble plus compréhensif. Les activité
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formule de notre grand passé, et de notre avenir,
intégré
, le seul possible. L’Europe, c’est très peu de chose plus une culture
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signifie supprimer les frontières économiques et
intégrer
nos entreprises dans une économie concertée à l’échelle continentale
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rgument se détruit lui-même : car dans une Europe
intégrée
, il n’y a plus « d’économie suisse », il y a seulement une économie e
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cept d’économie « nationale », par définition non
intégrée
. On ne peut pas avoir le beurre et l’argent du beurre. On ne peut pas
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la nation déifiée, cet ennemi juré de l’Europe «
intégrée
», était en réalité un fédéraliste ! (Mais le mot ne peut passer le g