1 es plus émouvantes du monde : Il ne les connaîtra jamais . Il ne verra que d’aveugles façades. Il s’est privé à tout jamais de

2 rra que d’aveugles façades. Il s’est privé à tout jamais de quelque chose d’irremplaçable, de quelque chose qu’on peut tuer, m

3 du mécénat, nul comité de coordination ne pourra jamais remédier. Les comités ne peuvent faire, au mieux, que des choses rais

4 aire valoir ces vues mondiales : on ne l’accusera jamais de néo-colonialisme ! Et elle est mieux placée que tout autre pour fa

5 se pourpre d’une intensité de couleur que je n’ai jamais vue ailleurs. Arrêt dans une auberge faite d’un vieux wagon d’alumini

6 toutes vos maisons se touchent, vous n’êtes plus jamais seuls. » Je lui ai dit qu’il exagérait, qu’il y avait encore en Europ

7 dney Hook, le philosophe et sociologue. « Je n’ai jamais fait de ma vie autant de mathématiques, me dit ce dernier, c’est le l

8 de quelque chose. Mais la société européenne n’a jamais été moins asservie par les impératifs ou par les interdits de la reli

9 ns une confusion proprement insensée de religions jamais tout à fait mortes, et rarement tout à fait comprises et pratiquées ;

10 rlant des langues diverses, et incapables de plus jamais s’entendre pour accomplir leur dessein. En effet, chacun des groupes

11 rpénètrent, et certaines s’universalisent. On n’a jamais autant appris de deuxièmes et de troisièmes langues. On n’a jamais au

12 ris de deuxièmes et de troisièmes langues. On n’a jamais autant traduit et déchiffré. Et des machines électroniques vont faire

13 uvert la terre entière, et personne d’autre n’est jamais venu la découvrir. L’Europe gréco-romaine et judéo-chrétienne a conçu

14 rsité, dans nos pays, paraît plus florissante que jamais  : loin d’être abandonnée, elle attire une foule croissante de travail

15 rs et de curieux. L’industrie et l’État, plus que jamais , ont besoin d’elle. Si elle est devenue trop petite pour ses tâches i

16 ’on l’agrandisse ! Les crises de croissance n’ont jamais été mortelles pour les administrations : elles représentent an contra

17 ditionnés, dus à la spécialisation, ne combleront jamais , et toujours moins. C’est gagner le monde par petits bouts au prix de

18 ont peut-être comme un rêve, mais rien ne devient jamais réel qui n’ait été d’abord rêvé. La multiplication des universités, m

19 re où elle s’interroge elle-même plus qu’elle n’a jamais fait dans son histoire. Cette liste de thèmes, vous le sentez, ne dem

20 fait le Monde, et qui doit aujourd’hui, plus que jamais , faire des hommes. 3. Je n’ignore pas les tentatives qui se dessin

21 surpris un jour en plein travail — on ne devrait jamais faire ça — pour découvrir qu’avant, ailleurs, au Flore, chez Lipp, de

22 t ans et plus qu’on se rencontrait, je ne l’avais jamais vu dans sa réalité et nous n’avions presque rien dit qui vaille entre

23 bien de poètes, et plus encore de peintres, n’ont jamais pu vraiment s’approuver dans leur cœur, parce que Breton ne les avait

24 xe siècle, le bénéfice de l’extrême fraîcheur. » Jamais Breton ne s’est mieux défini. Je pense au soir où il déclara qu’il ét

25 lots, entre le délire et l’extrême rigueur il n’a jamais cessé d’inventer un chemin qui ne pouvait exister que pour lui seul.

26 ène tantôt l’auteur (surtout dans sa jeunesse, et jamais sans humour), tantôt des personnages de l’histoire politique et litté

27 part, j’étais relié aux trois mouvements, n’ayant jamais voulu être l’homme d’une seule secte. Peut-être adoptais-je, sans m’e

28 ’homme à la fois cosmopolite et enraciné. Je n’ai jamais senti la moindre gêne à être d’un pays où j’ai des racines et à me se

29 est le seul directeur de revue littéraire qui ait jamais montré dans cet emploi ce qu’il faut appeler du génie. Et le plus lib

30 st grand ! C’est le plus grand écrivain que j’aie jamais connu : 1 m 90 je pense, larges épaules, grande tête rectangulaire au

31 assumer ? » (Bien sûr qu’à cela, du moins, il n’a jamais songé.) Je l’ai surpris, notre dialogue s’est noué, et il se poursuiv

32 viennent à penser sincèrement qu’ils ne pourront jamais s’unir, même s’il le faut, du fait qu’ils n’ont en somme rien de comm

33 et les divisent tous également, et ne coïncident jamais avec aucune frontière. Nos États-nations, obsédés par l’idée de « se

34 d’apaiser les ennemis de l’union en jurant de ne jamais toucher aux droits sacrés de vos États-nations ! Vous savez bien que

35 isir, à cause de la démangeaison, on ne deviendra jamais un écrivain en écrivant pour tel usage bien défini, pour tel objet to

36 ôt comique si l’on s’avise que le fédéralisme n’a jamais été ni pu être une « solution » aux problèmes de la Suisse, pour la s

37 primitifs. Et pas un seul des autres cantons n’a jamais adhéré au Pacte dit du Grütli, qui ne porte que trois signatures. Mai

38 en partie secrète. Trop passionné pour se montrer jamais sentimental, trop pessimiste pour moraliser, et avec trop de distance

39 s marchandises, quelquefois les idées. On ne fera jamais l’Europe avec les ministres d’aujourd’hui, parce que toute leur maniè

40 est tout le système scolaire. Mais ils ne peuvent jamais faire face à ce problème. Il faudrait qu’ils puissent s’arrêter, sort

41 jours sur moi-même à l’Université : je ne creuse jamais si bien un problème que quand je dois le présenter à mes étudiants.

42 ez « comme on respire », ou c’est que vous n’êtes jamais vraiment venu, n’avez jamais existé dans ce lieu. Tout ce qui touche

43 ’est que vous n’êtes jamais vraiment venu, n’avez jamais existé dans ce lieu. Tout ce qui touche à un centre et tout ce qui re

44 aiment la beauté, et qui voudraient que Lavaux, à jamais , demeure tel qu’un beau jour ils l’ont aimé. Or, ses habitants l’aime