1 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Erreurs sur l’Allemagne (1er mai 1940)
1 x, les revues et les livres nous apportent chaque jour des jugements plus massifs sur l’hitlérisme et sur ses causes. On vou
2 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). « À cette heure où Paris… » (17 juin 1940)
2 artout que le fracas du néant mécanique. Jusqu’au jour bien plus terrifiant que le jour de la pire vengeance où, s’arrêtant
3 anique. Jusqu’au jour bien plus terrifiant que le jour de la pire vengeance où, s’arrêtant enfin, ils comprendront qu’aucun
3 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La route américaine (18 février 1941)
4 tion de la vie. Aux États-Unis, on parle tous les jours de l’american way of life, littéralement : de la route américaine de
5 r Smith… Des bonbons Johnson… Ici, trois tués par jour … Lisez la Bible… Cabines de touristes à 100 yards… Ferry-boat du Dela
6 acun porte en soi, celui de l’âme inépuisable. Ce jour -là, les glorieux highways aboutiront enfin à l’Homme. d. Rougemont
4 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Souvenir de la paix française (15 mars 1941)
7 ais cette rue silencieuse, imaginant d’y vivre un jour , dans une fermette aux volets pâles, sans adresse, au ras de la plain
8 t dit : Peut-être est-elle à Mandres ; c’est donc jour de marché. Il a écrit ces mots. Elle saura bien. Il a rejoint l’usage
9 aient sur les vergers. J’ai su, plus tard, que ce jour -là j’avais fait mes adieux à la France. e. Rougemont Denis de, « S
5 1946, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Monsieur Denis de Rougemont, de passage en Europe, nous dit… [Entretien] (4 mai 1946)
10 se directement ? Oui, à part un arrêt de quelques jours à Paris. Votre impression de la capitale française ? J’ai été frappé
11 transmise par Londres. Il me fallait faire chaque jour 20 à 30 pages, soit un quart d’heure de nouvelles et autant de commen
6 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Fédéralisme et culture (3-4 mars 1962)
12 trop de médiocrité pour peu qu’elles aient été un jour inscrites à quelque budget d’État, et sous prétexte de répartition gé
13 otre vitalité fédéraliste. On parle beaucoup, ces jours -ci du danger que le Marché commun représenterait pour notre Suisse fé
7 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Universités américaines (12-13 janvier 1963)
14 nul n’a compris ce pays s’il n’a pas découvert un jour qu’un souffle immense de lyrisme nomade est le secret le mieux couvé
15 a solitude. Un VIP2 de New York me disait l’autre jour  : « Toutes les personnes de mon espèce s’arrangent pour avoir des mai
16 eu. Tout en haut, notre appartement pour quelques jours . Une musique bien rythmée remplit l’étage. Je pousse des portes et me
8 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’éloge, l’élan, l’amour, le monde ouvert à ceux qui s’ouvrent, cela existe… (2-3 février 1963)
17 tre nous, nous sommes racistes », me disait-il un jour — provocateur ! Il aurait sans nul doute échoué dans son « projet » s
9 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Les mythes sommeillent… ils vont se réveiller [Entretien] (9-10 février 1963)
18 de Rougemont était en Amérique, il lui arriva un jour de décrocher son téléphone, et d’entendre à l’autre bout du fil une v
10 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
19 vivants aujourd’hui. Et Louis Armand me disait un jour  : si vous et moi, dans nos années d’études, il y a 30 à 35 ans, avion
11 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Stampa, vieux village… (15-16 janvier 1966)
20 dit la Bible. C’est là que je l’avais surpris un jour en plein travail — on ne devrait jamais faire ça — pour découvrir qu’
21 ue rien dit qui vaille entre deux hommes. Mais ce jour -là, il triturait une mince colonne de terre et se plaignait — « c’est
12 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). André Breton à New York (8-9 octobre 1966)
22 1942, selon le journal que je tenais alors.) Deux jours plus tôt, je l’avais rencontré à l’Office of War Information, où je v
23 rendre un poste. J’écrivais deux longs textes par jour  : « La Voix de l’Amérique parle aux Français », et j’avais deux équip
24 contestation en convergence heureuse ! À quelques jours de là, il me dit souhaiter que nous puissions désormais nous rencontr
25 les centaines d’articles à paraître ces prochains jours . C’est que Breton, pour toute la haine vigilante qu’il n’a cessé de v
26 dans le même poème…) C’est ainsi qu’il me lut un jour l’Ode à Charles Fourier qu’il venait de recopier d’une belle écriture
13 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Jacques Chenevière ou la précision des sentiments (22-23 octobre 1966)
27 a longue amitié souvent difficile. Des rires. Des jours aussi qui touchent à l’histoire. Et des adieux… Seules donc m’ont gui
28 nt la Seconde Guerre mondiale, il y aura certains jours où l’Agence recevra 40 000 documents !) Plus de mille volontaires tra
29 Plus de mille volontaires travaillent bientôt. Un jour on annonce à Chenevière et l’on pilote vers lui entre les fichiers un
14 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Jean Paulhan (19-20 octobre 1968)
30 Jean Paulhan (19-20 octobre 1968)an Un jour que je montai chez Jean Paulhan, ce devait être en 1937, 1938, je rej
31 cœur battre au moment de passer cette porte ? Le jour où moi, je ne sentirai plus cela, je me ferai honte. » Posons ces deu
32 uscule. « Ah ! je suis bien déçu, me disait-il un jour . Je me suis appliqué à relire Cicéron dans l’espoir de le trouver sur
33 qui assiègent en permanence un directeur.) Chaque jour , d’un large bec de plume, il écrivait sur des petites feuilles de pap
34 , il me demandait « s’il m’intéresserait quelque jour de collaborer à la NRF  ». J’étais admis ! J’allais être reçu ! L’on
15 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La cité européenne (18-19 avril 1970)
35 du fait qu’ils n’ont en somme rien de commun ! Un jour , tandis que je présidais une table ronde du Conseil de l’Europe, irri
16 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe et le sens de la vie (25-26 avril 1970)
36 autre tout au long du xixe siècle, suivis de nos jours par le reste du monde, notamment par le tiers-monde, mal décolonisé à
17 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Le testament de Tristan (14-15 novembre 1970)
37 cédé du chapeau suivant : « De Gaulle est mort le jour où la Suisse se préparait à discuter avec le Marché commun. Ce hasard
18 1971, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Au défi de l’Europe, la Suisse (31 juillet-1er août 1971)
38 réalisé des idées et des principes qui seront un jour destinés à assurer la paix en Europe… Si cet idéal de l’avenir se réa
19 1972, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut dénationaliser l’enseignement [Entretien] (8 décembre 1972)
39 ue ce qu’on a dû enseigner. Je l’observe tous les jours sur moi-même à l’Université : je ne creuse jamais si bien un problème
20 1972, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Merveilleux Lavaux (23-24-25 décembre 1972)
40 ient que Lavaux, à jamais, demeure tel qu’un beau jour ils l’ont aimé. Or, ses habitants l’aiment aussi, mais ils en usent,
41 ils en usent, c’est-à-dire le transforment chaque jour par les retouches insensibles de l’usage, usure et patine à la fois.
21 1984, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Philosophie et énergie nucléaire : une mise au point (28 juin 1984)
42 suivantes : « Les réserves en pétrole… seront un jour épuisées. Les experts varient sur la date, non sur la vraisemblance d