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ant de mathématiques, me dit ce dernier, c’est le
langage
commun que nous avons trouvé, entre nos différentes spécialités. Les
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ilosophie, même existentialiste. Il s’est fait un
langage
de peintre, en prose. Plutôt que d’une « rationalité adéquate », le j
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hent de façon purement intellectuelle de nouveaux
langages
… Ce qui nous donne une impression de sécheresse, d’épuisement. Ne cro
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langue commune, remplacée par une multiplicité de
langages
spéciaux de moins en moins traduisibles, et l’évanouissement progress
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s les nuées de l’inconcevable. Mais dire que tout
langage
commun se perd, entre les branches sans cesse multipliées du savoir,
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ale. Mais qu’il n’y ait plus, ou presque plus, de
langage
commun, et que les buts finaux s’obscurcissent, il faut bien voir que
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ai dite conduit inévitablement à la confusion des
langages
, dissous en terminologies incomparables. L’université, que l’on pourr
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pluralité de ses recherches sans références à un
langage
commun. Un savoir en progression géométrique Le grand problème
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répondra pas au défi de la division du savoir en
langages
spécialisés. Pour y répondre, il faut envisager la création d’institu
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l’aide aux sous-développés ? 4. Possibilités d’un
langage
universel, fondé sur la cybernétique et sur la sémiologie de Saussure
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des diverses branches du savoir. Limites d’un tel
langage
, et comment y suppléer par les arts. 5. Européologie. Il existe dans
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ou d’hommes qui méditaient sur la nécessité d’un
langage
commun aux sciences exactes, aux arts et à la théologie, ainsi Descar
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niveau de précision. Mais on peut craindre que le
langage
mathématique, même une fois maîtrisé par nos économistes, philosophes
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Rougemont parler de l’Europe, de la personne, du
langage
, de notre univers, des avions passant dans le ciel apportaient comme