1 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Erreurs sur l’Allemagne (1er mai 1940)
1 sme sort de Luther. Certains d’entre eux nuancent leur jugement. Le cliché reste. Je vois bien quelles erreurs politiques l’
2 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). New York alpestre (14 février 1941)
2 Alpes quand nous en contemplons la chaîne, et qui leur servent de repères pour se diriger dans la ville. Le vent fou, l’air
3 climat et les rapports humains. Ils pensent, dans leur ignorance, que c’est une ville trop « européenne »… Mais moi, je m’y
3 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La route américaine (18 février 1941)
4 les autostrades américaines allongent sans répit leur ruban de béton, semblables à la trace d’un grand fer à repasser au tr
4 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Souvenir de la paix française (15 mars 1941)
5 té sous la douceur du ciel, retrait des âmes dans leur destin. Je longeais cette rue silencieuse, imaginant d’y vivre un jou
5 1946, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Monsieur Denis de Rougemont, de passage en Europe, nous dit… [Entretien] (4 mai 1946)
6 civilisation pour un peuple si neuf ? Disons que leur conception de la vie est différente. C’est une question de mœurs, de
7 nos yeux sur certains points, et nous le sommes à leurs yeux sur certains autres (par exemple, la manie de nous battre). À cô
8 impriment, et manquent d’esprit critique. Quant à leurs loufoqueries, ne croyons pas qu’ils les prennent au sérieux : c’est u
9 prennent au sérieux : c’est un genre d’humour qui leur plaît, et ils ne font que s’en amuser. Si on les compare aux Français
10 monde. Et, ne serait-ce que pour mieux comprendre leur continent grâce à l’éloignement, il faudrait que le plus grand nombre
11 ossible d’Européens eussent l’occasion de quitter leur « province » pour s’y rendre. N’ont-ils donc rien à craindre de l’amé
12 grand-chose à nous apprendre, et c’est là une de leurs grandes ressemblances (il y en a beaucoup) avec les Suisses. Non, plu
6 1947, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu (5 décembre 1947)
13 de même encore vivants et libres, vaut mieux que leur « ordre » où nous serions des morts, ou je ne sais quels esclaves hon
7 1949, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Les écrivains romands et Paris (10 septembre 1949)
14 s, et publiées, au lieu même et dans le milieu où leur auteur est né, où il a grandi ? J’en vois si peu, et je trouve en rev
8 1949, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe est encore un espoir (8 décembre 1949)
15 autres dorment. Ils n’ont pas encore vu qu’on ne leur laissera plus le temps d’être prudents. Trop tard, dites-vous. « L’Eu
16 e, là où le cri des hommes n’est pas étouffé dans leur bouche, ou dans les sources mêmes de leur révolte. Vous allez me dire
17 fé dans leur bouche, ou dans les sources mêmes de leur révolte. Vous allez me dire : « Ce n’est qu’une survivance. En réalit
18 dernier mot sur les hommes politiques. Ils ont eu leur congrès ailleurs. À Lausanne, ce seront les savants, les poètes et le
9 1953, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). « Ce qu’ils pensent de Noël… » [Réponse] (24 décembre 1953)
19 plupart sont involontaires, ils ne font que subir leur condition. n. Rougemont Denis de, « [Réponse à une enquête] Ce qu’
10 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Fédéralisme et culture (3-4 mars 1962)
20 omités sont par définition prudents et économes : leur rôle est normalement de rationaliser les activités dont ils s’occupen
11 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe est d’abord une culture (30 juin 1962)
21 certains traits qu’ils tiennent pour essentiels : leur union consiste donc à restaurer ou à consolider par des institutions
22 rer ou à consolider par des institutions communes leur unité de base, lorsque celle-ci se trouve menacée par des forces de d
23 es responsables ont peine à prendre conscience de leur nocivité tant que celle-ci ne se manifeste qu’au niveau des idéologie
24 cquises. Elle a inventé bien des maux, mais aussi leurs remèdes, bien des méthodes dangereuses, mais aussi les moyens de les
25 os pays, aura pour mission essentielle d’orienter leur action commune à l’échelle mondiale (relations avec les Amériques, l’
12 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Universités américaines (12-13 janvier 1963)
26 alon et blouses de sport. Quelques-unes ont gardé leurs bigoudis, comme cela se fait dans ce pays, la veille d’une fête ou le
27 ets de cigarettes, blouses, cahiers et livres, et leurs jambes sur des poufs ou le bras d’un fauteuil. Le professeur annonce
28 isi l’auteur anonyme. Plusieurs girls manifestent leur intention de s’exprimer en levant un doigt discret ou un très long fu
29 pièce, l’emploi « stratégique » de certains mots leur donnant une efficacité particulière, semble son thème favori. Ici com
30 unes filles, dont plusieurs sont ravissantes dans leur tenue savamment négligée, parleront désormais de poésie avec l’assura
31 détient pas les clés de l’avenir du monde uni, je leur rappelle que c’est l’Europe qui a fait le monde, en créant les moyens
32 leurs d’où résulte le concept de genre humain. Je leur rappelle aussi que le communisme russe est une création de l’Europe.
33 en étant prêts à mourir, mais non pas à tuer, en leur nom ? » « Nous devons incarner nos valeurs. Mais comment peut-on fair
34 d’une conférence sur l’Europe et le monde que je leur ai brièvement exposé. Critiques et suggestions d’une pertinence parfa
13 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Les mythes sommeillent… ils vont se réveiller [Entretien] (9-10 février 1963)
35 e font, pour l’essentiel, que prendre ce que nous leur donnons. Mais si nos mythes sont morts… Ils sommeillent. Ils attenden
36 culture et la religion seraient venues surajouter leurs faux problèmes… Cette illusion touchante peut les aider à vivre, mais
37 peut les aider à vivre, mais non pas à comprendre leur vie. Car tous, tant que nous sommes, sans le savoir, menons nos vies
14 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
38 capables de plus jamais s’entendre pour accomplir leur dessein. En effet, chacun des groupes exerçant une même activité parl
39 ant le genre humain. Et plus ils excellaient dans leur activité spéciale, plus ils parlaient en jargon barbare (tanto rudius
40 ibniz, Vattel et Kant en sont les pères, et je ne leur vois guère de répondant dans les élites d’Asie, d’Arabie et d’Afrique
41 administrations : elles représentent an contraire leur régime normal d’existence, selon la loi de Parkinson. L’incommunicabi
42 d’autres disciplines, et qui ne peuvent défendre leur « vérité » qu’en se fermant méthodiquement sur elles-mêmes, acceptant
43 ue les lévites, même sceptiques quant aux fins de leur religion, administrent les rites et donnent leurs cours… Mais quel d
44 leur religion, administrent les rites et donnent leurs cours… Mais quel dieu servent-ils encore ? À quelle idée de l’homme,
45 urris de cultures différentes viennent nous poser leurs grandes questions naïves et pénétrantes : pourquoi l’Europe a-t-elle
46 essentiellement illusoires n’allait pas perdre à leur étude le meilleur de son temps de méditation. Si les Européens voulai
47 aux Asiatiques, aux Africains, ou aux Arabes, qui leur posent ces questions fondamentales, ils se verraient conduits à dépas
48 ndamentales, ils se verraient conduits à dépasser leur régime de spécialités académiques, à surmonter leur ignorance méthodi
49 ur régime de spécialités académiques, à surmonter leur ignorance méthodique des domaines qui ne sont pas de leur département
50 orance méthodique des domaines qui ne sont pas de leur département. Je reprends ici mon exemple du physicien et du théologie
51 ns qui en discutent sachent que la dialectique de leurs problèmes actuels sur le temps, la matière et sa constitution, est ét
52 urs vérités hétérogènes saisies par l’esprit dans leur mouvement, rythme et structure dynamiques autant que dans leurs impli
53 t, rythme et structure dynamiques autant que dans leurs implications jusqu’alors inaperçues. C’est dire que l’œuvre de synthè
54 cheurs représentant des disciplines diverses. Par leur réunion physique en séminaires restreints, ils créeraient ces « carre
55 de nos recherches, un sens constamment alerté de leurs corrélations virtuelles et de la fécondité de leurs interférences. Ce
56 urs corrélations virtuelles et de la fécondité de leurs interférences. Ces hommes seront d’abord des spécialistes, et qui pro
57 eront d’abord des spécialistes, et qui prouveront leur excellence en tant que tels par le fait même qu’ils auront pris consc
58 e sauver la qualité des universités existantes et leur efficacité pédagogique, menacées l’une et l’autre par des facteurs qu
59 s existantes seraient progressivement libérées de leur engorgement, d’autre part les dimensions des universités nouvelles po
60 , maintenues dans les petites dimensions qu’exige leur rendement optimum, peut freiner l’accroissement de l’entropie au nive
61 uropéenne, et la logique ou les contradictions de leur développement dans la vie publique et privée de l’unité culturelle en
62 mmun, le mécanisme des organisations européennes, leur histoire récente, leur jurisprudence, l’unification de leurs mesures
63 organisations européennes, leur histoire récente, leur jurisprudence, l’unification de leurs mesures sociales et la coordina
64 ire récente, leur jurisprudence, l’unification de leurs mesures sociales et la coordination de leurs politiques économiques.
65 n de leurs mesures sociales et la coordination de leurs politiques économiques. Ce qui nous manque encore, c’est une étude qu
66 s un an, les professeurs détachés reviendraient à leur enseignement, porteurs d’une sorte de radioactivité, — les uns mûris,
15 1965, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Un écrivain suisse (20-21 mars 1965)
67 de ces super-provinces qu’on nomme nations toutes leurs cités, tous leurs pays. Pourtant je vois cette possibilité s’illustre
68 nces qu’on nomme nations toutes leurs cités, tous leurs pays. Pourtant je vois cette possibilité s’illustrer d’une manière ex
69 ir européen dont tous les deux firent preuve dans leur Correspondance (voir les lettres à von Preen de l’aîné, celles à Hofm
70 l du cadet), mais plutôt qu’il faut l’attribuer à leur commune formation bâloise d’historiens scrupuleux mais sûrs artistes,
71 rience des hommes et de l’irrationnel qui conduit leurs affaires au pire a certes confirmé son pessimisme inné, et sa profond
72 quelques-uns des hommes les mieux liés par toutes leurs fibres aux traditions civiques et culturelles des Suisses. Voilà qui
16 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). André Breton à New York (8-9 octobre 1966)
73 intres, n’ont jamais pu vraiment s’approuver dans leur cœur, parce que Breton ne les avait pas admis et célébrés !) J’ai vu
74 deux ans plus tard, et il poursuit : « À travers leurs outrances et tout ce qui procède chez eux de la griserie imaginative,
17 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Jacques Chenevière ou la précision des sentiments (22-23 octobre 1966)
75 ces phrases choisies dans un bref liminaire pour leur cadence, leurs articulations déliées mais fort précises, car elles no
76 hoisies dans un bref liminaire pour leur cadence, leurs articulations déliées mais fort précises, car elles nous disent très
77 propose — quelques événements silencieux exigent leur durée, leur chapitre : auprès d’une jeune fille inconnue, dans une ma
78 uelques événements silencieux exigent leur durée, leur chapitre : auprès d’une jeune fille inconnue, dans une maison de camp
79 é de 13 ans, à Sarah Bernhardt dans sa loge, puis leurs rencontres à Genève et à Paris, sont décrites dans le registre d’un c
80 einte », même s’il s’agit seulement des robes que leur composait Worth trente ans plus tôt pour un bal de la Cour (« Avouez
18 1967, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). J. Robert Oppenheimer (25 février 1967)
81 soleils, les puissances les mieux calculées dans leur opération physique et les moins calculables dans leur retentissement
82 opération physique et les moins calculables dans leur retentissement humain, marquant ainsi l’histoire du Nouveau Monde par
19 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Entretien avec Denis de Rougemont (6-7 avril 1968)
83 , synthèse, nous voulions laisser les choses dans leur état de tension. Quant à Esprit, son premier numéro manifestait une t
84 bles à des millions d’autres, terminent calmement leur journée sous le soleil, je me sens encore tout imprégné de la sagesse
20 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut réinventer l’Université (29 juin 1968)
85 des pasteurs. Ces écoles n’ont plus en commun que leur location dans une même ville, leurs services administratifs et leur d
86 en commun que leur location dans une même ville, leurs services administratifs et leur dépendance financière d’un même État.
87 une même ville, leurs services administratifs et leur dépendance financière d’un même État. À part cela, elles n’ont plus r
88 à tout prix, mais à répartir les activités selon leurs dimensions aux étages communautaires correspondants. Une école de méd
21 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’écrivain et l’événement (7-8 septembre 1968)
89 erai trois types d’auteurs qui se définissent par leur rapport à l’événement : le ludion, le contestateur et le prophète, qu
22 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Vers l’Europe des régions [Entretien]
90 uation tient au fait que les États veulent garder leur souveraineté absolue, devenant ainsi eux-mêmes l’obstacle à toute esp
91 ront de proche en proche un tissu plus solide que leurs liens avec les États-nations ; ceux-ci peu à peu tomberont en désuétu
23 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Jean Paulhan (19-20 octobre 1968)
92 n’est pas une joie de l’esprit que les Lettres ne leur doivent. Et qui pourrait tolérer, se demande un jeune homme, de n’êtr
93 ins donnantes. Tout se passe comme s’il y avait à leur endroit je ne sais quoi de libre, de joyeux et peut-être d’insensé, d
24 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Témoignage sur Bernard Barbey (7-8 février 1970)
94 arrière littéraire de Bernard Barbey qui explique leur éclipse injuste et provisoire, que les deux ou trois autres carrières
25 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La cité européenne (18-19 avril 1970)
95 passion ne se détruisent pas pour autant : entre leurs triomphes alternés, elles durent dans l’ombre de l’histoire, dans la
26 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe et le sens de la vie (25-26 avril 1970)
96 instauration d’une force suffisante pour garantir leur concurrence féconde, dans la paix. Je ne vois pas d’autre réponse ima
97 es une à une, si nous refusons l’union qui ferait leur force ; mais en retour, cette union ne saurait être acquise au prix d
98 igieuses, contre la prétention de l’État-nation à leur monopole absolu. Il faut distribuer les pouvoirs étatiques aux différ
99 , le fédéral — indiqués par la nature des tâches, leurs dimensions et celles de la communauté la plus apte à les administrer.
100 ive. L’Europe unie sera seule capable de réaliser leur vision. On me dira peut-être aussi que je radicalise indûment l’antit
101 ait formée d’États-nations conservant jalousement leurs prétentions à la souveraineté absolue. Je ne crois pas à cette amical
102 tions. Ou plutôt, de les dépasser, de démystifier leur sacré, de percer leurs frontières comme des écumoires, de narguer ces
103 es dépasser, de démystifier leur sacré, de percer leurs frontières comme des écumoires, de narguer ces frontières sur terre,
104 es. Je ne sais si les problèmes profonds que pose leur balance commerciale (laquelle ne saurait être positive, me semble-t-i
105 l’esprit » dont parlait Robert Schuman traversent leurs frontières sans les apercevoir : dans ce plan, elles n’existent pas.
106 , qui doit être mis au service des citoyens et de leurs cités ; et non l’inverse. Cessez donc, Messieurs les ministres, d’ess
107 ls : ils sont presque comblés à cet égard. Ce qui leur manque le plus durement, c’est un but transcendant, c’est un sens de
108 ns de la vie, maintenant que la guerre n’est plus leur exutoire, l’alibi des raisons de vivre inexistantes. La réponse à la
27 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Une réflexion sur le mode de vie plutôt que sur le niveau de vie (2 juin 1970)
109 oique matérialiste. La plupart des hommes suivent leurs coutumes et leurs rêves plus que l’argent. (J’ai là-dessus quelques s
110 . La plupart des hommes suivent leurs coutumes et leurs rêves plus que l’argent. (J’ai là-dessus quelques statistiques.) Q
111 ens, Turcs et Portugais laissent peu de traces de leur passage sur notre sol, dans nos cités et dans nos mœurs. Je n’en dira
112  sol sacré » que les usines et les traxs derrière leur dos profanent, défoncent et stérilisent sans que personne semble y fa
28 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Le testament de Tristan (14-15 novembre 1970)
113 iècles d’Europe  : En réunissant et replaçant en leur contexte tous ces écrits à travers lesquels, au long des siècles, s’e
29 1971, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Pourquoi j’écris (30-31 janvier 1971)
114 éalistes, les premiers, ont posé cette question à leurs contemporains, c’était vers 1925, sur le ton d’un gangster qui demand
115 ceux qui prétendent n’écrire que pour le salut de leurs lecteurs. En fait, on commence à écrire vers 16 ou 17 ans, sans savoi
30 1971, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Au défi de l’Europe, la Suisse (31 juillet-1er août 1971)
116 on court interviewer des étrangers : quelle est à leurs yeux notre image ? Ils nous renvoient le plus souvent celle de nos er
117 lisme. Elle n’est rien qu’un régime d’union. Dans leur très grande majorité — 98 % exactement — les six millions de Suisses
118 s et d’anciens baillages libérés, solidaires dans leur volonté d’autonomie ; et à cette fin, décidant la mise en commun des
119 e de chefs des Agences fédérales spécialisées par leur fonction : finances, économie, justice, transports, recherches scient
31 1972, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut dénationaliser l’enseignement [Entretien] (8 décembre 1972)
120 des Méfaits, soit qu’ils se sentent attaqués dans leur conscience professionnelle, soit qu’ils jugent, eux, que votre texte
121 avec les ministres d’aujourd’hui, parce que toute leur manière de penser est prisonnière des schémas nationaux. Souvenez-vou
122 ion-repos, permanence-changement. Il faut trouver leur point d’équilibre dynamique. Ainsi pour le fédéralisme, qui est si ma
123 s le cas européen, des régions — qui aient chacun leur autonomie, leurs caractéristiques propres, différentes ou opposées, d
124 n, des régions — qui aient chacun leur autonomie, leurs caractéristiques propres, différentes ou opposées, dont résulteraient
125 es gens à être bons ou intelligents, mais on peut leur offrir un cadre où leur bonté et leur intelligence aient au moins la
126 ntelligents, mais on peut leur offrir un cadre où leur bonté et leur intelligence aient au moins la possibilité de s’exercer
127 ais on peut leur offrir un cadre où leur bonté et leur intelligence aient au moins la possibilité de s’exercer. La modificat
32 1972, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Merveilleux Lavaux (23-24-25 décembre 1972)
128 on. Les chemins de fer et l’autoroute y font déjà leurs longues blessures. Tout cela — nul n’y peut rien — aux dépens du pays
129 , ce sera par la grâce de quelques fous associant leur foi poétique aux calculs des vrais réalistes — lesquels ne sont nulle
33 1984, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Philosophie et énergie nucléaire : une mise au point (28 juin 1984)
130 uelle l’expérience des centrales nucléaires et de leurs problèmes majeurs (comme celui des déchets) était pratiquement nulle