1 du rêve et de la vitalité inépuisable d’un peuple libre , et qui voit grand sans se forcer. Voici enfin un spectacle émouvant

2 ofesseur — et le suis encore en titre — à l’École libre des hautes études, université française en exil dirigée à ses débuts

3 t gagné la guerre. La Suisse subsiste, intacte et libre . On n’a pas fusillé Oltramare, on s’est borné à le punir un peu. Son

4 rant où nous voici tout de même encore vivants et libres , vaut mieux que leur « ordre » où nous serions des morts, ou je ne sa

5 centralisé et ce qui marcherait mieux en restant libre et dispersé, voire anarchique. Il est clair que nos villes sont trop

6 centralisé, et ce qui marcherait mieux en restant libre et dispersé, voire anarchique ». s. Rougemont Denis de, « Rectific

7 rendre bénéfiques. Elle a inventé et pratiqué la libre concurrence, mais aussi la coopération, le nationalisme, mais aussi l

8 ériodes d’action et de médiation. Tantôt écrivain libre ou professeur ; historien des grandes têtes politiques du passé, ou m

9 me s’il y avait à leur endroit je ne sais quoi de libre , de joyeux et peut-être d’insensé, dont nous aurions perdu jusqu’au s

10 ni pour toujours, puisque ce « je ne sais quoi de libre , de joyeux et peut-être d’insensé », c’est toute son œuvre, justement

11 t la fonde sur le paradoxe des citoyens à la fois libres et responsables, mais elle invente aussi l’analyse critique, elle la

12 u. Mais dès lors que ce choix de notre avenir est libre , nous voici contraints de le faire, à nos risques et périls ! Nous vo

13 son intégrité spirituelle et culturelle malgré la libre circulation des travailleurs intellectuels et manuels ? — La notion d

14 ration dans la mesure où elle s’est formée par la libre association de communes rurales et urbaines, de pays, d’évêchés, de p