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e qu’il faut, en Suisse romande, pour nourrir une
littérature
. Nous avons peut-être un peu plus que bien d’autres provinces françai
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», et ils sont à Paris. Nous faisons partie de la
littérature
française. Or, il se trouve que la France est un pays centralisé, dan
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ents d’appréciation suffisants pour alimenter une
littérature
qui ne soit pas uniquement et strictement « locale » ? 2. A-t-il des
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me semble-t-il, de la sociologie plutôt que de la
littérature
. Si l’on est né à Tubingue, à Eboli, à Collombay ou à Stratford sur l
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on vraiment de meilleures chances ? L’idée que la
littérature
ait pour fonction d’exprimer l’homme en tant que national ou régional
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vement et l’allure de la phrase, le sérieux de la
littérature
. Et tout le reste est linguistique, dirait Verlaine s’il revenait par
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l lisait en sanscrit. Il connaissait à fond notre
littérature
, où il préférait à tout François Villon. Jeune homme, il avait rêvé u
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par les régions. Il y a à ce sujet une importante
littérature
en France qui est le pays le plus concerné par la centralisation, gra
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; en ce temps-là. Elle s’adressait à cela dans la
littérature
dont il nous paraissait tout à fait évident que Paulhan détenait les
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quelles exceptions près, ce qui a compté dans la
littérature
en création, c’est ce qui avait mérité son attention. Être accepté pa
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e pas écrivain ? Cet état « singulier » de notre
littérature
n’autorise pas trop d’optimisme. Il se peut que les hommes soient de
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se, presque toujours, fait presque toujours de la
littérature
, si bonne qu’elle soit. Mais l’aventure militaire de Barbey est singu