1 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Souvenir de la paix française (15 mars 1941)
1 ndres ; c’est donc jour de marché. Il a écrit ces mots . Elle saura bien. Il a rejoint l’usage du pays, l’intimité des choses
2 1946, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Monsieur Denis de Rougemont, de passage en Europe, nous dit… [Entretien] (4 mai 1946)
2 ais qui a ses valeurs à elle. Peut-on employer ce mot de civilisation pour un peuple si neuf ? Disons que leur conception d
3 1947, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu (5 décembre 1947)
3 t qui veut s’en tenir à la seule ressemblance des mots tombe dans le calembour juridique. Car il est vrai que les deux cas s
4 1949, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe est encore un espoir (8 décembre 1949)
4 a calme outrance de la désillusion. Elle dit deux mots  : trop tard. D’autres nous disent : trop tôt… Entre ceux qui parlent
5 iez à ma doctrine du pessimisme actif. Un dernier mot sur les hommes politiques. Ils ont eu leur congrès ailleurs. À Lausan
5 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Universités américaines (12-13 janvier 1963)
6 de la pièce, l’emploi « stratégique » de certains mots leur donnant une efficacité particulière, semble son thème favori. Ic
6 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
7 s, de créations et de formes de vie — disons d’un mot  : par sa culture, qui a fait littéralement le tour du monde. Mais en
8 né de questions et de réponses, le dialogue en un mot , et il exclut l’intervention monologante sous forme de discours. Ce d
7 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). André Breton à New York (8-9 octobre 1966)
9 l’on expie ! » (Beaucoup de lui dans ces quelques mots .) Il m’arrive de rêver que je m’entends au mieux avec tel homme, tell
8 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut réinventer l’Université (29 juin 1968)
10 tion d’un certain sens de la vie 2. Au sens du mot que je viens de définir, l’Université n’existe plus. Ce qu’on persist
9 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’écrivain et l’événement (7-8 septembre 1968)
11 odes de sentir qui donnent « un sens plus pur aux mots de la tribu », et instaurent ou restaurent une communauté. Cela compo
10 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Témoignage sur Bernard Barbey (7-8 février 1970)
12 cence, et je me sentais touché, au double sens du mot , par la gloire naissante d’un jeune aîné qui venait de mon pays ou pr
11 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe et le sens de la vie (25-26 avril 1970)
13 communauté la plus apte à les administrer. En un mot , il faut appliquer la méthode du fédéralisme. Puissance ou liberté :
14 rêt public, tâches politiques au sens originel du mot  : l’économie, l’écologie et l’habitat, les transports, les relations
15 de relations ou d’affaires étrangères : c’est un mot qu’il nous faut bannir du vocabulaire politique dans une Europe fédér
12 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Le testament de Tristan (14-15 novembre 1970)
16 rée », était en réalité un fédéraliste ! (Mais le mot ne peut passer le gosier d’un Français héritier de Louis XIV, des jac
17 uant à la participation qu’il demandait, c’est le mot clé du fédéralisme. Merveilleux compromis entre le mythe et l’avenir 
13 1971, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Pourquoi j’écris (30-31 janvier 1971)
18 e met en quête d’une mélodie, d’un contrepoint de mots ou d’une couleur tonale. Un événement me dicte une page qui change ma
19 l’écriture. Au terme de mes livres, où figure le mot fin et juste au-dessous de ce feu rouge sur la remorque, veuillez don
14 1972, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut dénationaliser l’enseignement [Entretien] (8 décembre 1972)
20 ait dire « conflit ». À quoi je préfère encore le mot « tension », car on associe aujourd’hui l’idée de conflit à celle de
21 us commençâmes un dictionnaire dans lequel chaque mot français était traduit d’un mot grec. Tout cela se gravait merveilleu
22 ans lequel chaque mot français était traduit d’un mot grec. Tout cela se gravait merveilleusement dans ma tête, parce que j